dimanche 16 octobre 2016

La France et l’Arabie saoudite ont organisé une manœuvre militaire près de Lille

L'unité spéciale des forces terrestres de l’Arabie saoudite a pris part, mercredi 12 octobre, à une manœuvre militaire conjointe avec les forces terrestres françaises, près de Lille, une ville du nord de la France.

Plus de 10 000 personnes ont été tuées depuis le début de l’offensive saoudienne contre le Yémen, en mars 2015.

Anna Macdonald, directrice de l'ONG Control Arms, a déclaré que la France avait donné son feu vert à la vente de 18 milliards de dollars d’armements à l’Arabie saoudite.

Amnesty International a réclamé à maintes reprises la cessation des ventes d’armes à Riyad afin d’empêcher le massacre des civils.

En alimentant l’armée saoudienne en armements, la France, le Royaume-Uni et les États-Unis se font des complices des crimes de l’Arabie saoudite au Yémen.

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Un écolier 7 ans tabassé par ses camarades parce qu'il est musulman


La campagne électorale qui bat son plein outre-Atlantique a eu pour conséquence de relancer les vieilles rancoeurs raciales. D’un côté les policiers blancs exécutent sans autre forme de procès des afro-américains et de l’autre, le candidat Trump permet aux nostalgiques d’une époque pas si révolue de satisfaire leur plus bas instincts trop longtemps contenus.

Après la série de meurtres qui ont endeuillé la communauté musulmane américaine, la situation ne semble pas s’améliorer bien au contraire. A l’image de l’Europe, l’oncle Sam n’a rien à envier à quiconque lorsqu’il s’agit d’incriminer et de martyriser les jeunes musulmans.
Une escalade dans la violence qui pousse nombre de musulmans à quitter les Etats-Unis pour s’installer vers d’autres cieux plus cléments, leur pays d’origine. Nul Etat n’est épargné par l’islamophobie et après New York, des élèves d’une école située dans la ville de Cary en Caroline du Nord, probablement contaminés par l’ambiance délétère du moment, ont pris à partie l’un de leur petit camarade musulman.

L’enfant de sept ans est rentré de l’école couvert d’ecchymoses, il a raconté à son papa, chercheur informatique pakistanais, qu’il a été agressé par plusieurs écoliers pour avoir refusé de manger de la nourriture non Halal. Après avoir tenté vainement de le forcer à ingérer la nourriture non Halal, ils l’ont frappé en répétant «  musulman  », confie son père encore sous le choc au Huffington Post américain.
«  [Mon fils] est né et a été élevé aux Etats-Unis  »«  Il est né en Floride. Et est aussi Américain que n’importe qui. Il aime Captain America. Il veut devenir président des Etats-Unis  », s’est justifié le chercheur. Ce n’est malheureusement pas la première agression à laquelle la petite famille Usmani est confrontée, leurs deux autres garçons ont été accusés d’avoir un père terroriste et ont fait aussi l’objet de moqueries de la part de leurs camarades. Les parents lassés de ces attaques islamophobes préfèrent repartir dans leur pays d’origine.

«  Cela me brise le cœur, et c’est triste de voir ça  », «  Ce n’est pas l’Amérique que l’on connaît, que l’on aime et dans laquelle on veut vivre  » a confié le papa qui compte retourner avec sa famille à Islamabad, car les Etats-Unis «  ne sont plus un pays sûr  ».

Le Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR) dépassé par la multiplication des actes islamophobes a demandé au Superintendant de l’académie du comté de Wake de faire la lumière sur cette affaire et d’intervenir au plus vite.
«  Cette attaque présumée a lieu alors que le pays connaît actuellement une hausse des brutalités envers les élèves de confession musulmane dans tout le pays  », a-t-il dit.
«  Nous vous demandons expressément d’enquêter sur cet incident très dérangeant et de prendre les mesures qui s’imposeront en fonction des conclusions de cette enquête. Tout élève, peu importe sa religion, doit pouvoir se sentir en sécurité dans son environnement scolaire  ».

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30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour

Le « Freedom of Information Act 2000» (Acte donnant libre accès à des documents secrets) au Royaume-Uni auquel a eu recours un médecin, a permis de révéler le contenu de 30 années de documents officiels secrets montrant que les experts gouvernementaux :

- savaient que les vaccins ne fonctionnaient pas
- savaient que les vaccins pouvaient provoquer les maladies qu’ils étaient sensés prévenir.
- savaient que les vaccins présentaient des dangers pour les enfants
- se sont entendus pour mentir au public
- se sont attelés à empêcher les études de sécurité.

Ce sont ces mêmes vaccins qui sont rendus obligatoires pour les enfants américains.

Les parents peuvent soit épargner tout ce mal à leurs enfants, soit continuer à s’incliner devant l’un des plus affreux mensonges de l’histoire, ce mensonge qui veut faire croire que des vaccins – remplis de métaux lourds, de maladies virales, de mycoplasme , de matières fécales, de fragments d’ADN d’autres espèces, de formaldéhyde, de polysorbate 80 (Agent stérilisant) – sont un miracle de la médecine moderne.

Un médecin américain dont le fils est autiste a eu recours au « Freedom of Information Act » pour obtenir des documents du CDC (Centres Américains de Contrôle des Maladies). Il voulait avoir accès à l’information que possédait le CDC au sujet des dangers que présentent les vaccinations. Selon la loi, il devait recevoir réponse dans les 20 jours. Pratiquement 7 ans plus tard, le médecin s’adressa finalement à la justice, et c’est là que le CDC a fait valoir qu’il n’était pas obligé de remettre ces documents. Finalement, un juge a ordonné au CDC de remettre ces documents au médecin pour le 30 septembre 2011.

Le 26 octobre 2011, l’éditorialiste du « Denver Post » s’est dit choqué que l’administration Obama, après avoir promis d’être particulièrement transparente, proposait des modifications au Freedom of Information Act , permettant d’entraver la révélation de documents secrets en autorisant les agences gouvernementales (comme le CDC) à déclarer certains documents « inexistants ». […]

 Le CDC agit manifestement à l’encontre de la santé de la population américaine. Mais la menace que présente le comportement du CDC sur la vie des Américains ne s’arrête malheureusement pas là. Il a participé à l’élaboration des lois concernant les pandémies qui permettent au gouvernement d’utiliser l’armée, en cas d’urgence pandémique déclarée, pour contraindre toutes les personnes du pays à subir des vaccins non testés, des médicaments, des produits chimiques et d’autres traitements « médicaux ».

En se basant sur le Freedom of Information Act, on peut dire que le CDC perdrait toute crédibilité s’il devait déclarer pareille urgence pandémique. Après avoir déclaré la pandémie du H1N1 en 2009, le CDC a refusé de répondre à la requête d’information de CBS qui s’en référait au « Freedom of Information Act ». A cette époque, le CDC a tenté de bloquer toute leur enquête. Ce que voulait cacher le CDC, c’était son propre rôle dans un des plus grands scandales médicaux de l’histoire, en s’en référant à des données follement exagérées sur les cas de grippe H1N1 en vue de créer une fausse impression de « pandémie » aux Etats-Unis.

Le CDC a aussi dissimulé un scandale financier concernant la fausse pandémie qui a coûté des milliards de dollars. Il y a pire, le CDC n’a pas hésité à mettre les femmes enceintes en première ligne pour un vaccin non testé qui comprenait un agent stérilisant, le polysorbate 80. Grâce au CDC, le nombre de rapports de morts fœtales a augmenté de 2.440% en 2009 comparativement aux années précédentes ; situation qui est encore plus choquante que les statistiques de fausses couches qui avaient augmenté de 700%. […]

En tentant de sauver les derniers vestiges du secret qui concerne les vaccins et en déclarant que les documents de l’Agence sont inexistants, l’Administration Obama a réduit à néant toutes ses prétentions à la transparence. Mais les lois prévues pour rendre obligatoires des vaccins pandémiques peu connus sont toujours en place et toute responsabilité a été dissoute. Il n’empêche qu’une étude canadienne vient de montrer que le vaccin contre la grippe qui contient le H1N1 et qui a tué des bébés in utero, contribue en fait à augmenter le risque de pandémie.

Les américains qui ont été dupés en soumettant leurs enfants aux vaccins meurtriers du CDC possèdent aujourd’hui des moyens de riposte. Les personnes de tous horizons, de chaque organisation doivent :

1. Prendre connaissance des textes révélés grâce au Freedom of Information Act du Royaume Uni et qui ont trait aux mensonges sur les vaccins. Ces personnes doivent prendre connaissance du refus du CDC de fournir quelque information que ce soit sur ce qu’ils savent au sujet de ces mensonges ; elles doivent aussi prendre connaissance des efforts déployés par l’administration Obama pour camoufler ce que sait le CDC au sujet de ces mensonges. Ces personnes doivent contacter leurs représentants et exiger l’annulation immédiate du calendrier vaccinal du CDC et des lois concernant les pandémies.

2. Informer chaque vétérinaire, personnel militaire, policiers, agents du DHS, ainsi que le personnel médical de toute la mystification vaccinale. Expliquer à ces personnes que leurs familles sont aussi gravement menacées. Ces personnes ne pouvaient probablement pas savoir qu’elles avaient été manipulées à l’intérieur même de leurs structures par l’industrie pharmaceutique qui les ont transformées en agents meurtriers grâce à la déclaration de « pandémie » ou « d’attaque bioterroriste ». Il est tout à fait clair aujourd’hui que les structures terroristes/bioterroristes ne sont que des escroqueries. Ainsi tous les projets qui sont envisagés pour « protéger » le pays sur la base de ces mêmes lois ne feraient que menacer l’existence et la liberté des américains.

Grâce au Freedom of Information Act (FOIA), nous savons que le calendrier des vaccinations relève du canular. Ce sont les vaccins qui constituent un danger pour la santé des enfants et des adultes Américains.

Ce sont aujourd’hui des vaccins obligatoires, mal testés avec des adjuvants dangereux qui menacent le pays et qui pourraient provoquer quantité de morts. A l’extérieur d’Atlanta, le CDC a stocké quelque 500.000 cercueils géants, construits pour être incinérés. Il commence à devenir clair que le CDC ne devrait en aucune façon être mêlé de quelque manière que ce soit aux problèmes de santé publique.

Grâce au Freedom of Information Act, nous savons aujourd’hui que les vaccins ne constituent nullement le miracle de la médecine moderne que l’on a voulu nous faire croire. Toute autorité médicale ou gouvernementale qui prétendrait que les vaccins préviennent les maladies, ignore les documents gouvernementaux comme les innombrables études qui révèlent l’exact opposé, mais ignore également les tentatives du CDC de cacher au public la vérité sur les vaccins.

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Les tampons soupçonnés de contenir de l'herbicide

Des recherches menées par des scientifiques de l’université de la Plata, en Argentine, et reprises par le site Russia Today, concluent que la majorité des tampons et serviettes hygiéniques, 85%, contiennent du glyphosate. Désherbant le plus utilisé au monde, le glyphosate est plus connu sous son nom commercial : le Roundup. Celui-ci a été jugé "probablement cancérogène" par l’OMS.

Toujours selon l’étude, ces traces de glyphosate ne seraient pas seulement présentes dans les serviettes et les tampons : cotons et compresses en contiendraient également. Ceci s’explique le fait que la quasi-totalité du coton utilisé en Argentine est génétiquement modifié.

Pétition en ligne

Quel est le risque ? "Ce pesticide ne s'accumule pas dans l'organisme mais les expositions répétées peuvent perturber le métabolisme humain", selon le docteur Laurent Chevallier, chef de l'unité de médecine environnementale du CHU de Montpellier, cité par "Ouest France". Mais comme le rappelle le quotidien, impossible de savoir actuellement à quel degré d'exposition le glyphosate devient dangereux. 

Autre problème : en France, aucune réglementation n’oblige les fabricants de tampons à communiquer sur leur composition. Cet été, une jeune française avait lancé une pétition en ligne en ligne afin que la marque Tampax fasse figurer celle-ci sur l’emballage de ses produits. Une démarche à laquelle s’est associée "60 millions de consommateurs" et qui a recueilli plus de 64.000 signatures.

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La coalition arabe avoue avoir tué 140 personnes «par erreur»

La coalition dirigée par l’Arabie saoudite a reconnu avoir bombardé un rassemblement funéraire à Sanaa qui a fait des centaines de morts et blessés suite à une bavure.

Au moins 140 personnes ont été tuées et plus de 525 blessées, des civils pour la plupart, lors d'une frappe contre une cérémonie funèbre à Sanaa, contrôlée par les Houthis, le 8 octobre.

Les rebelles en ont tout de suite accusé la coalition menée par Riyad.

« L'équipe (des enquêteurs) est venue à la conclusion que des représentants de l'état-major général du Yémen avaient donné des informations aux chefs des opérations de la Force aérienne, qui s'étaient par la suite révélées erronées, sur un lieu concret ou devaient se trouver à Sanaa des commandants militaires des Houthis », apprend-on de la coalition citée par la chaîne Al Arabya. En outre, le résultat de l'enquête indique que la frappe a été effectuée immédiatement sur un « objectif militaire ». Cette décision a été prise notamment par le siège au Yémen, sans l'autorisation du commandement central de la coalition. « La frappe sur la position a été faite par erreur… Il est nécessaire de prendre des mesures juridiques contre ceux dont les actions ont mené à l'incident. Il faut également commencer à travailler sur une compensation pour les familles des victimes et des blessés », a ajouté la coalition.

Depuis 2014, le Yémen est en proie à un conflit armé opposant les rebelles houthis et les militaires loyaux à l'ancien président Ali Abdallah Saleh aux forces gouvernementales et aux milices populaires soutenant le président en exercice Abd Rabbo Mansour Hadi. Les rebelles contrôlent les territoires dans le nord du pays et la capitale Sanaa où ils ont créé leurs organes de pouvoir.

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Assad: Il faut combattre le wahhabisme pour éliminer le terrorisme

Le président de Syrie Bachar el-Assad estime que la situation actuelle dans le monde rappelle la guerre froide dont la Syrie est un acteur.

Interrogé jeudi 13-10-2016 par le quotidien russe Komsomolskaïa pravda, il a préconisé l’élimination des terroristes comme seul moyen pour en finir avec le terrorisme, et de combattre le wahhabisme, « sa racine idéologique ».

La Syrie, l’acteur important

« En ce qui concerne la Troisième Guerre mondiale, ce terme est souvent utilisé, surtout après la récente escalade, par rapport à la situation en Syrie. Mais à l’heure actuelle, nous sommes en présence d’une situation qui ressemble à la guerre froide dans son stade de développement. Cet élément est apparu tout récemment, c’est pourquoi je pense que l’Occident, et surtout les États-Unis, n’ont pas arrêté la guerre froide même après l’effondrement de l’URSS », a déclaré le dirigeant syrien  .

Selon lui beaucoup de scènes politiques sont impliquées dans ce processus, et la Syrie en est l’une des plus importantes.

Conserver l’hégémonie américaine

« Nous observons l’escalade du conflit, mais l’objectif majeur consiste à conserver l’hégémonie américaine sur le monde, à empêcher quiconque d’être partenaire (des États-Unis, ndlr) dans l’arène politique ou internationale, que ce soit la Russie ou même leurs alliés en Occident. On sent dans l’air l’odeur d’une guerre que vous (l’interviewer) avez décrite comme la Troisième Guerre mondiale, mais ce n’est pas encore une confrontation militaire directe. Bien qu’il y ait une composante politique, terroriste et militaire », a dit Bachar el-Assad.

Le président a signalé que la Russie, l’Iran et le Hezbollah étaient des alliés qui se trouvaient en Syrie sur une base légale. « Ils luttent contre les terroristes, mais il y a d’autres pays dont l’ingérence vise à soutenir les terroristes. La question principale n’est pas le nombre d’acteurs, mais le terrorisme », a conclu Bachar el-Assad.

Combattre le wahhabisme

Pour régler le conflit syrien il a indiqué qu’il importait de définir qui soutenait les terroristes.

« Peu importe qui s’ingère actuellement dans les affaires syriennes. Le plus important est de savoir qui soutient les terroristes chaque jour et chaque heure. C’est là le problème majeur. Une fois ce problème résolu, la situation embrouillée que vous (le journaliste) avez présentée n’aurait plus d’importance. La question est plutôt de savoir quels pays soutiennent les terroristes que de savoir quels pays s’ingèrent dans les affaires du pays », a-t-il expliqué.

De même, d’après le président syrien, la seule façon de lutter contre le radicalisme islamiste takfiriste est de stopper le financement de l’idéologie wahhabite et de continuer le combat contre les organisations terroristes.
« La lutte efficace contre le radicalisme islamiste exige, en premier lieu, que l’on arrête de financer l’Arabie saoudite », a-t-il signalé.

« La chose la plus importante est d’enrayer le flux d’argent que le gouvernement saoudien, ses ONG et ses institutions investissent afin de promouvoir l’idéologie wahhabite à travers le monde. Vous ne pouvez pas dire: « Je vais combattre cette idéologie », et dans le même temps permettre à leurs cheiks et imams de promouvoir dans leurs médersas (terme arabe désignant une école, ndlr) cette sombre idéologie », a ajouté  le numéro un syrien.

Eliminer les terroristes

Selon le chef d’État syrien, la seule façon de lutter contre les «terroristes idéologiques » est de les éliminer.

« Il n’y pas d’autre moyen. Ils n’ont pas besoin de dialogue. D’ailleurs, nous n’avons pas le temps de dialoguer. Nous devons protéger nos citoyens, et donc nous sommes obligés d’éliminer les terroristes. Même si cela ne suffit pas. C’est comme dans un jeu vidéo, ils surgissent à nouveau. Si on tue un combattant, dix autres font leur apparition. Et ce processus n’a pas de fin », a-t-il ajouté.

L’ASL comme les autres

Pour lui, l’Armée syrienne libre (ASL) ne diffère en rien des organisations terroristes Daech et le Front al-Nosra.

« Quand leur mouvement a commencé à croître et qu’il est devenu impossible de cacher les crimes de décapitation, l’Occident a dû reconnaître l’existence d’al-Nosra. Mais en fait, c’est l’Armée syrienne libre. Et c’est Daesh. Ils ont les mêmes racines et se déplacent d’une zone vers une autre pour une variété de raisons », a-t-il conclu.

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Proposition algérienne à Téhéran et Ryad

Sous couvert de l'anonymat, une source diplomatique algérienne a affirmé qu'Alger avait proposé à l'Iran et à l'Arabie saoudite la formation d'une force de maintien de la paix regroupant des pays arabes non impliqués dans l'affaire yéménite, précise l'agence Tasnim.

Citée par l'agence turque Anadolu, cette source a affirmé que le ministre des Affaires étrangères algérien, Ramtane Lamamra, avait fait cette proposition à ses homologues iranien et saoudien en marge de l'Assemblée générale des Nations unies à New York. Cette source n'a donné aucun commentaire sur la réaction des parties iranienne et saoudienne. Aucune information n'a filtré sur le nombre des effectifs d'une telle force de maintien de la paix et aucune source officielle en Algérie ne s'est encore exprimée à ce sujet.

Toujours selon cette source diplomatique algérienne, cette proposition a été faite dans le cadre des efforts visant à rapprocher les positions des parties impliquées dans l'affaire yéménite.

Pour rappel, les efforts effectués ces derniers mois par l'envoyé spécial de l'ONU pour le Yémen, Ismail Ould Cheikh Ahmed, afin d'amorcer une entente entre les parties impliquées (le gouvernement démissionnaire, le mouvement Ansarallah et le parti d'Ali Abdallah Saleh) n'ont donné jusqu'ici aucun résultat tangible.

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