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mercredi 26 octobre 2016

Le secret des vaccins envoyés en Afrique

Un exercice de stérilisation de masse, déclarent des médecins kenyans qui ont trouvé un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos .

Des pays africains sont sans nul doute, depuis des décennies, des laboratoires in vivo d’expérimentations de masse (stérilisation, mutations génétiques, infections, virus, etc.) qui sont dirigés par des firmes pharmaceutiques privées, par le département militaire des maladies infectieuses et qui sont financés par les Bill Gates de ce monde.

Je rappelle que tous les pays occidentaux vaccinent contre le tétanos, sans compter le calendrier vaccinal des enfants, les vaccins saisonniers, les vaccins contre la méningite, vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

Selon un communiqué publié mardi par l’Association des médecins catholiques du Kenya, l’organisation a trouvé un antigène dans un vaccin administré à 2,3 millions de filles et de femmes qui provoque des fausses couches. Ce vaccin est administré par l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF.

« Nous avons envoyé six échantillons provenant de partout au Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG », dit le Dr. Muhame Ngare du Mercy Medical Centre à Nairobi au LifeSiteNews. Le Dr. Ngare, porte-parole de l’Association des médecins catholiques au Kenya, a déclaré dans un bulletin publié le 4 novembre: « Cette campagne de l’OMS n’est pas d’éradiquer le tétanos néonatal, mais c’est un exercice bien coordonné de stérilisation de masse avec un vaccin qui régule la fertilité. Cette preuve a été présentée au Ministère de la Santé avant le troisième tour de vaccination, mais elle été ignorée »

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dimanche 16 octobre 2016

Les tampons soupçonnés de contenir de l'herbicide

Des recherches menées par des scientifiques de l’université de la Plata, en Argentine, et reprises par le site Russia Today, concluent que la majorité des tampons et serviettes hygiéniques, 85%, contiennent du glyphosate. Désherbant le plus utilisé au monde, le glyphosate est plus connu sous son nom commercial : le Roundup. Celui-ci a été jugé "probablement cancérogène" par l’OMS.

Toujours selon l’étude, ces traces de glyphosate ne seraient pas seulement présentes dans les serviettes et les tampons : cotons et compresses en contiendraient également. Ceci s’explique le fait que la quasi-totalité du coton utilisé en Argentine est génétiquement modifié.

Pétition en ligne

Quel est le risque ? "Ce pesticide ne s'accumule pas dans l'organisme mais les expositions répétées peuvent perturber le métabolisme humain", selon le docteur Laurent Chevallier, chef de l'unité de médecine environnementale du CHU de Montpellier, cité par "Ouest France". Mais comme le rappelle le quotidien, impossible de savoir actuellement à quel degré d'exposition le glyphosate devient dangereux. 

Autre problème : en France, aucune réglementation n’oblige les fabricants de tampons à communiquer sur leur composition. Cet été, une jeune française avait lancé une pétition en ligne en ligne afin que la marque Tampax fasse figurer celle-ci sur l’emballage de ses produits. Une démarche à laquelle s’est associée "60 millions de consommateurs" et qui a recueilli plus de 64.000 signatures.

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