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jeudi 8 décembre 2016

Les médicaments du nord testés dans le sud !

Économies, gain de temps... Les fabricants de médicaments délocalisent toujours plus leurs tests vers des pays pauvres. Certaines pratiques sont problématiques, estime l’organisation Public Eye. En Égypte, les deux géants suisses Roche et Novartis représentent à eux deux près de la moitié des essais qui s’y déroulent.

 

Impossible d’envisager la commercialisation d’un médicament sans l’avoir testé chez l’homme au préalable. Historiquement réalisés dans les pays occidentaux, les essais cliniques sont toutefois de plus en plus délocalisés dans des pays aux revenus plus modestes tels que l’Égypte, l’Inde ou l’Ukraine.

Observé depuis plusieurs années, le phénomène a récemment fait l’objet d’une conférence organisée à Genève par l’organisation Public Eye (ex-Déclaration de Berne), afin de faire la lumière sur cette pratique et notamment sur les questions éthiques qu’elle soulève.

Mener des essais cliniques à l’étranger ? Les pharmas ont commencé à y songer au début des années 2000, notamment dans l’espoir de se positionner dans de nouveaux marchés en pleine croissance. Novartis, Roche, Sanofi, Merck… les plus grands industriels ont ouvert des bureaux dans les pays du Sud afin d’y lancer de grandes études précédant une éventuelle commercialisation de leurs futurs produits. En 2000, à peine 10% des essais de médicaments étaient réalisés dans les pays du Sud, contre environ 40% aujourd’hui, estime Public Eye.

 

Participer à un essai, un moyen de survivre

Pour ces laboratoires ou pour leurs sous-traitants, les avantages sont nombreux. Ils s’implantent à moindre coût dans des pays très peuplés qui leur assurent un accès à une immense réserve de malades potentiels, le tout dans un cadre réglementaire moins contraignant – lorsqu’il existe. Ce ne sont pas les plus pauvres qui sont visés, mais plutôt des pays dont le niveau de vie s’améliore. La raison : « Ils se dotent d’hôpitaux et d’universités qui intéressent les industriels, sans oublier que les gens qui y vivent contractent peu à peu des maladies chroniques que nous connaissons bien ici : diabète, maladies cardiovasculaires, etc. qui requièrent des traitements longs, onéreux, et donc très lucratifs pour ces entreprises », détaille Patrick Durisch, qui a mené une étude approfondie sur le sujet pour Public Eye.

Un tel changement de pratique pose des questions éthiques. Venu à Genève, Ayman Sabae, spécialiste en santé publique et membre de l’ONG Egyptian Initiative for Personal Rights, s’est alarmé de la situation de son pays. « L’Égypte constitue un terreau fertile pour les essais cliniques. Il y a beaucoup d’universités et d’hôpitaux, une population nombreuse, les coûts en ressources humaines sont dérisoires et la législation très souple. » Mais avec 73% des soins payés directement de la poche des patients, bien peu d’Égyptiens peuvent se payer des traitements coûteux lorsqu’ils sont gravement malades. « 54% des Égyptiens disent avoir une assurance maladie, mais elles sont tellement inutiles que seuls 8% parmi eux s’en servent réellement », regrette Ayman Sabae. Si bien qu’une grande partie de la population voit les essais cliniques comme un moyen, parfois le seul, de se faire soigner.
Ce phénomène se vérifie d’ailleurs dans le type d’études réalisées en Égypte, où plus de 70% sont des essais dits de phase III : des tests coûteux qui s’adressent à de larges panels de patients malades. En filigrane de cette statistique apparaît le marché implicitement conclu entre les deux parties. D’un côté l’Égypte, qui accueille à bras ouverts les labos étrangers et permet ainsi à sa population malade d’espérer un traitement normalement hors de portée. De l’autre les industriels profitent du manquement de procédures de validation éthique des protocoles expérimentaux pour gagner un temps précieux. « À partir de la découverte de la molécule et du dépôt de brevet, c’est une course contre la montre qui s’engage, explique Patrick Durisch. Un brevet est valable durant vingt ans. Plus ils peuvent commercialiser leur produit tôt, plus les labos en tireront du profit avant que la concurrence ne sorte des génériques. »

 
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lundi 5 décembre 2016

Le lait: le 2 ème criminel qui se cache dans votre réfrigérateur

Pourquoi une femme sur 10 est atteinte d’un cancer du sein en occident en comparaison avec 1 sur 10 000 en Chine ?

Les Chinois ne consomment pas de produits laitiers. Le nom familier du cancer du sein en Chine est « La maladie des femmes riches » car elles mangent de la glace ou du fromage comme à Hong Kong.

Les études en épidémiologie commencent également à mettre en évidence le lien entre lait et cancer.
Alors comment les produits laitiers, tant aimés et adulés par les occidentaux, sans parler des américains dont le régime en contient 40%, peuvent-ils avoir des effets si néfastes ?

Le lait maternel est un aliment parfait pour le bébé mammifère. Il ne peut  pas manger la nourriture des adultes. Mais lelait contient un élément chimique puissant – le facteur de croissance insuline ou IGF-1 – qu’on trouve naturellement chez les filles pubères car il favorise le développement des seins. Cette substance chimique, conçue pour stimuler la croissance, pourrait aussi favoriser la croissance anarchique des cellules.

Plus de 70% de la population mondiale ne digère pas le sucre du lait, le lactose. L’intolérance au lactose pourrait être le signal d’alarme de la nature : peut-être la nature essaie-t-elle de nous dire que cet aliment n’est pas fait pour nous. L’homogénéisation apparemment permettrait seulement aux éléments chimiques cancérigènes de passer plus vite dans le sang.

Les études épidémiologiques montrent une corrélation positive entre la consommation de produits laitiers et le cancer du sein depuis une vingtaine d’années. Les chercheurs commencent à trouver une augmentation du risque de cancer du sein et de la prostate chez les personnes qui consomment du lait. Il y a aussi les dioxines et autres éléments chimiques très toxiques, certains cancérigènes, souvent solubles dans les graisses, qu’on trouve en concentration particulièrement élevée dans le lait.

Une autre question est maintenant soulevée : le lait que nous buvons depuis les années 1960 n’est plus le même que celui d’avant ; en effet auparavant les vaches mangeaient de l’herbe, ce qui est rarement le cas de nos jours.

Comment savoir : facile ! Vérifiez par vous-même : stoppez le lait pendant quelques semaines et observez l’effet sur votre bien être. Si vous vous sentez mieux, face à des petits maux comme l’acné, une allergie, des ballonnements, etc. cela vous encouragera à appliquer le principe de précaution contre toutes ces nouvelles maladies qui apparaissent avec le développement du mode de vie occidental.

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lundi 21 novembre 2016

Le SIDA est créé en vue de...

Le docteur Robert Gallo de l'institut de virologie humaine de Baltimore aux USA.Il affirme avoir crée intentionellement le virus du sida pour exterminer les humains.La cia vise surtout à exterminer la race noire et les homosexuels.

En Avril 1984, le Dr Robert Gallo a déposé une demande de brevet aux États-Unis pour son invention, le virus VIH / SIDA.

Normalement, quand un brevet est déposé et approuvé, on doit payer une somme pour protéger le brevet payer une sorte de taxe.Dr Gallo a pu déposer son brevet gratuitement.

DES SCIENTIFIQUES ASSURENT AVEC 100 POUR CENT DE CERTITUDE QUE LE LABORATOIRE GENESIS A CREE LE VIRUS DU SIDA
Ainsi, en maintenant les lois de propriété intellectuelle dans toute leur interprétation, il faut seulement admirer pourquoi le Dr Gallo n'a pas encore déposé une procédure visant à recouvrer des dommages de l'utilisation de son invention?

Aussi étrange que cet état de choses pourrait paraître, il porte nécessité d'un examen supplémentaire.

preuve scientifique est complète et convaincante, le virus du sida est une conception bi-produit du programme de Virus spécial des Etats-Unis. Le programme Spécial Virus était un programme de développement du virus fédéral qui a persisté dans l'U.S de 1962 jusqu'en 1978.

Le Virus spécial des Etats-Unis a ensuite été ajouté à des vaccins inoculés en Afrique et à Manhattan.

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Snowden au Conseil de l'Europe: NSA a délibérément espionné sur les droits de l'homme groupsMainstream médias Délibérément obscurcissement qui ont perpétré l'attaque hôpital afghan
Peu après, le monde a été englouti avec des infections massives de virus de l'animal de quelqu'un qui différait de toute maladie humaine illustre, il était très contagieuse et plus significative.

Un examen de la spéciale Graphique Virus Flow ( «logique de recherche") révèle les Etats-Unis cherchaient une «particule de virus qui pourraient avoir un impact négatif sur les mécanismes de défense du système.

Le programme cherche à modifier l'ordination de la particule virale au cours de laquelle pour l'épissure chez l'animal de grade d'associé "maladie débilitante" dénommé "Visna".

Selon les Actes du nous d'Amérique, le SIDA est un processus biologique, le développement de laboratoire du virus Visna particulière, d'abord détecté chez le mouton islandais. Récemment, les scientifiques américains et mondiaux assurent avec 100 pour cent de certitude la genèse de laboratoire du SIDA.

Ce fait est plus souligné une fois on examine la nature »se multiplient-épissé 'de la séquence' tat du VIH et 1971 papier Virus spécial du Dr Gallo,« transcriptase inverse de type C Particules de virus d'origine humaine ".Dr. 1971 papier Virus spécial Gallo est identique à sa 1984 annonce du SIDA.

Après réexamen du dossier révèle qu'il a déposé son brevet sur le sida, avant qu'il a fait l'annonce avec le secrétaire troublant. Plus tôt cette année, le Dr Gallo a reconnu son rôle comme un «agent de projet» pour le programme de développement du virus fédéral, le Virus spécial.

Le tableau de flux du programme et les 15 rapports d'étape publie les preuves indéniables que les États-Unis veulent assassiner une grande partie de la population mondiale par le déchaînement d'un organisme biologique volant qui peut exterminer les sous hommes comme les dénomment les élites nazies américaines et suisses du texas..

À la lumière de cette véritabledivulgation de la genèse du fléau biologique le plus meurtier du monde, il est le u. s. qui doit des dédommagements aux victimes innocentes.Chaque victime du SIDA associé est digne d'excuses appropriée et un moyen de fermeture économique pour une invention de la mort et ldedésespoir, perpétrés par les États-Unis.

Les yeux du monde sont sur l'équipe de soins de santé de l'ensemble Accounting Office, sous la direction de William J. Scanlon.

Entre 1964 et 1978, le programme secret de virus fédéral a dépensé 550 millions de dollars de trésorerie du contribuable pour créer le SIDA.

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mercredi 16 novembre 2016

Coca-Cola pille l’eau de notre planète et assoiffe des peuples. Le boycott s’impose !

L’invasion du Coca Cola n’impacte pas seulement sur l’obésité. Alors qu’environ 35 % des adultes américains sont obèses et 69 % en surpoids, on pourrait tout simplement s’arrêter là, ou ralentir notre consommation… mais ce ne sont pas les seules conséquences de la marque de sodas.

A force de vouloir s’implanter sur chaque parcelle de la terre, les firmes américaines oublient (ou plutôt ne veulent pas voir) que leur suprématie a des conséquences. Un appel au boycott a été lancé, au nom de la préservation des nappes phréatiques. Coca Cola utilise 300 milliards de litres d’eau pour sa consommation, tous continents confondus. Mais dans certains pays qui sont déjà en pénurie d’eau potable, cette méthode est une provocation.

Coca Cola Company a voulu se racheter une conscience ou plutôt plusieurs, premièrement en arrosant généreusement les associations de santé publique pour redorer leur image, deuxièmement en voulant faire passer l’environnement pour l’une de ses priorité. En effet, dans une publicité visible depuis quelques mois, la firme prétend traiter les eaux usées et les rendre à nouveau propres à la consommation. Tout en continuant de puiser de l’eau pure dans les nappes phréatiques. Pourquoi ne pas faire l’inverse ? Visiblement l’idée était moins glamour.

La conséquence directe de ce prélèvement d’eau potable est la privation des populations. Toutes les maladies, problèmes d’hygiène et infections trouvent leur source dans la mauvaise qualité de l’eau, notamment en Inde où 1,5 million de litres d’eau sont prélevés chaque jour. Avec un chiffre d’affaires qui s’élève à 41 milliards de dollars par an, l’investissement minimum dans la préservation voire la réparation des enjeux environnementaux, aurait été bien accueillie.

Voici ce que demande la campagne de boycott à Coca Cola :

– Plutôt que d’utiliser l’eau des nappes phréatiques et de rejeter des eaux usées traitées, utilisez de l’eau traitée pour votre production.
– Indemnisez les peuples à la juste valeur de votre impact.
– Ne laissez plus personne sans eau potable dans les régions où vous êtes installés et où vous installerez vos nouvelles unités de production et de distribution.
– Financez des réseaux gratuits d’eau potable en collaboration avec les gouvernements.
N’usez plus de pratiques lobbyistes afin d’obtenir des quotas de prélèvement.

Le boycott est une pratique souvent banalisée, ou plutôt, sous-estimée. C’est une pratique difficile, car combien d’entre nous ont la volonté de ne plus céder, de ne plus consommer ? Combien d’entre nous se soucient des coulisses de la consommation ? Les personnes qui lisent cet article appartiennent à un public averti qui sait déjà ce qu’est être responsable. Le problème, ce sont ceux qui ne savent pas. “Savoir, c’est pouvoir”…cette phrase du philosophe londonien Francis Bacon, résumera donc en trois mots la complexité d’un enjeu collectif.

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samedi 5 novembre 2016

Le danger du vaccin contre la grippe

Le verdict est tombé sur le vaccin contre la grippe. De nombreux experts médicaux reconnaissent maintenant qu’il est plus important pour vous et votre famille de vous protéger du vaccin contre la grippe que de la grippe elle-même.

 

Chaque année, l’industrie pharmaceutique, les experts médicaux et les médias grand public travaillent dur pour nous convaincre de nous faire vacciner contre la grippe.

Mais on ne nous dit pas toute l’histoire.

Ce que nous n’entendons pas, ce sont les cas d’effets indésirables ou les produits chimiques toxiques que l’on nous injecte.

 

11 raisons pour lesquelles les vaccins contre la grippe sont plus dangereux qu’une grippe

1. En fait le vaccin contre la grippe rend malade pour commencer

Avez-vous déjà remarqué comment les enfants vaccinés tombaient malades, presque immédiatement après une vaccination? C’est parce que le virus de la grippe est introduit dans le corps. Alors plutôt que de vacciner, le vaccin contre la grippe sensibilise seulement le corps contre le virus. Et le fait qu’il rende des personnes malades après la vaccination indique une immunosuppression (suppression médicale du système immunitaire).

2. Les vaccins antigrippaux contiennent d’autres ingrédients dangereux tels que le mercure

L’industrie pharmaceutique, les experts médicaux et les grands médias sont sincères en nous disant que les vaccins contre la grippe contiennent des souches du virus de la grippe. Ce qu’ils sont moins susceptibles de nous révéler, c’est la longue liste des autres ingrédients qui viennent avec le vaccin. On sait désormais que les vaccins contre la grippe contiennent du mercure, un métal lourd connu pour être dangereux pour la santé humaine. La toxicité du mercure peut causer la dépression, perte de mémoire, maladies cardiovasculaires, problèmes respiratoires, problèmes de santé bucco-dentaire, déséquilibres digestifs et d’autres problèmes de santé graves.

3. Le vaccin contre la grippe peut causer la maladie d’Alzheimer

Maintenant, des preuves indiquent que les vaccins contre la grippe peuvent causer la maladie d’Alzheimer. Des recherches menées par le Dr Hugh Fudenberg, spécialiste en immunologie, montrent que ceux qui font régulièrement le vaccin contre la grippe augmentent leur risque d’avoir la maladie d’Alzheimer par 10. Il croit que cela est dû à la combinaison toxique de l’aluminium et du mercure dans le vaccin. En outre, le fait de le faire à une personne âgée (qui avec l’âge va naturellement avoir un système immunitaire plus faible) ne fera qu’augmenter ses chances d’avoir cette maladie.

4. Les mêmes personnes qui poussent à se faire vacciner contre la grippe se font des milliards de dollars chaque année

En Août 1999, le Comité sur la réforme du gouvernement a lancé une enquête sur la politique fédérale de vaccination. Cette enquête a porté sur d’éventuels conflits d’intérêt de la part de la Food and Drug Administration (FDA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). L’enquête a conclu que de nombreuses personnes siégeant dans les deux principaux comités consultatifs avaient des liens financiers avec les compagnies pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins. Souvent, on a accordé des dérogations à ces personnes pour participer pleinement aux discussions qui ont abouti à des recommandations en matière d’homologation des vaccins et de vaccins pour l’immunisation des enfants. Ce qui en soi crée de sérieux doutes quant à la réelle efficacité des vaccins contre la grippe.

5. Manque de preuves réelles alors que même les jeunes enfants bénéficient de vaccins contre la grippe

51 études impliquant 260 000 enfants âgés de 6 à 23 mois ont établi qu’aucune preuve que le vaccin contre la grippe n’était plus efficace qu’un placebo. En outre, les vaccins contre la grippe ne protègent que contre certaines souches du virus ce qui signifie que vous pouvez encore facilement attraper la grippe si vous entrez en contact avec une souche différente du virus.

6. Le vaccin vous rend plus sensible à la pneumonie et à d’autres maladies contagieuses.

Pour quelqu’un qui a un système immunitaire déjà affaibli, l’injection de souches du virus de la grippe peut avoir des conséquences dévastatrices. Si votre corps est déjà au travail pour lutter contre un virus ou qu’il fonctionne simplement avec une faible immunité, l’injection d’un vaccin pourrait l’exposer gravement à contracter la grippe avec des symptômes plus forts, ou encore pire la pneumonie et d’autres maladies contagieuses.

7. Troubles vasculaires

La recherche médicale montre que les vaccins contre la grippe sont associés à un risque accru d’inflammation vasculaire. Les symptômes comprennent notamment la fièvres, des douleurs de la mâchoire, des douleurs musculaires, des douleurs et des raideurs dans le cou, les bras, les épaules et les hanches et des maux de tête.

8. Les enfants de moins de 1 an courent un risque

Les enfants de moins de 1 an sont très vulnérables à une violation du centre nerveux sensible qui entoure le cerveau et le système nerveux central. Le premier vaccin contre la grippe est administré à l’âge de 6mois. Un enfant de moins de 1 manque de protection pour se prémunir contre une détérioration prématurée de la barrière hémato-encéphalique.

9. Risque accru de narcolepsie

Il y a eu des dizaines de cas signalés d’enfants dans 12 pays différents qui ont développé la narcolepsie (un trouble du sommeil chronique) après avoir reçu le vaccin contre la grippe. L’étude, qui eut lieu entre Octobre 2009 et Décembre 2011, a comparé 3,3 millions de Suédois vaccinés avec 2,5 millions de personnes qui n’ont pas été vaccinées. Le risque a été jugé plus élevé chez les plus jeunes qui se sont fait vacciner. Pour les moins de 21 ans, le risque de contracter la narcolepsie était trois fois plus élevé.

10. Il affaiblit les réactions immunologiques

Il ya eu des milliers d’articles de revues médicales qui ont publiées que les vaccins conduisent à des réactions immunologiques nocives et une foule d’autres infections. En outre, les réponses immunologiques affaiblissent et diminuent la capacité d’une personne à combattre les maladies que le vaccin était censé nous protéger.

11. Troubles neurologiques graves

Des preuves indiquent maintenant que les ingrédients qui sont dans les vaccins contre la grippe peuvent effectivement causer des troubles neurologiques graves. En 1976, un nombre important de ceux qui ont reçu le vaccin contre la grippe on eu le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une affection caractérisée par des lésions nerveuses permanentes et même la paralysie. Les vaccins antigrippaux peuvent contenir de nombreux composants nocifs, y compris des détergents, du mercure, du formaldéhyde et des souches de virus vivant de la grippe.

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mercredi 26 octobre 2016

Le secret des vaccins envoyés en Afrique

Un exercice de stérilisation de masse, déclarent des médecins kenyans qui ont trouvé un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos .

Des pays africains sont sans nul doute, depuis des décennies, des laboratoires in vivo d’expérimentations de masse (stérilisation, mutations génétiques, infections, virus, etc.) qui sont dirigés par des firmes pharmaceutiques privées, par le département militaire des maladies infectieuses et qui sont financés par les Bill Gates de ce monde.

Je rappelle que tous les pays occidentaux vaccinent contre le tétanos, sans compter le calendrier vaccinal des enfants, les vaccins saisonniers, les vaccins contre la méningite, vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

Selon un communiqué publié mardi par l’Association des médecins catholiques du Kenya, l’organisation a trouvé un antigène dans un vaccin administré à 2,3 millions de filles et de femmes qui provoque des fausses couches. Ce vaccin est administré par l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF.

« Nous avons envoyé six échantillons provenant de partout au Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG », dit le Dr. Muhame Ngare du Mercy Medical Centre à Nairobi au LifeSiteNews. Le Dr. Ngare, porte-parole de l’Association des médecins catholiques au Kenya, a déclaré dans un bulletin publié le 4 novembre: « Cette campagne de l’OMS n’est pas d’éradiquer le tétanos néonatal, mais c’est un exercice bien coordonné de stérilisation de masse avec un vaccin qui régule la fertilité. Cette preuve a été présentée au Ministère de la Santé avant le troisième tour de vaccination, mais elle été ignorée »

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dimanche 16 octobre 2016

30 ans de camouflage et mensonges sur les vaccins viennent d’être mis au grand jour

Le « Freedom of Information Act 2000» (Acte donnant libre accès à des documents secrets) au Royaume-Uni auquel a eu recours un médecin, a permis de révéler le contenu de 30 années de documents officiels secrets montrant que les experts gouvernementaux :

- savaient que les vaccins ne fonctionnaient pas
- savaient que les vaccins pouvaient provoquer les maladies qu’ils étaient sensés prévenir.
- savaient que les vaccins présentaient des dangers pour les enfants
- se sont entendus pour mentir au public
- se sont attelés à empêcher les études de sécurité.

Ce sont ces mêmes vaccins qui sont rendus obligatoires pour les enfants américains.

Les parents peuvent soit épargner tout ce mal à leurs enfants, soit continuer à s’incliner devant l’un des plus affreux mensonges de l’histoire, ce mensonge qui veut faire croire que des vaccins – remplis de métaux lourds, de maladies virales, de mycoplasme , de matières fécales, de fragments d’ADN d’autres espèces, de formaldéhyde, de polysorbate 80 (Agent stérilisant) – sont un miracle de la médecine moderne.

Un médecin américain dont le fils est autiste a eu recours au « Freedom of Information Act » pour obtenir des documents du CDC (Centres Américains de Contrôle des Maladies). Il voulait avoir accès à l’information que possédait le CDC au sujet des dangers que présentent les vaccinations. Selon la loi, il devait recevoir réponse dans les 20 jours. Pratiquement 7 ans plus tard, le médecin s’adressa finalement à la justice, et c’est là que le CDC a fait valoir qu’il n’était pas obligé de remettre ces documents. Finalement, un juge a ordonné au CDC de remettre ces documents au médecin pour le 30 septembre 2011.

Le 26 octobre 2011, l’éditorialiste du « Denver Post » s’est dit choqué que l’administration Obama, après avoir promis d’être particulièrement transparente, proposait des modifications au Freedom of Information Act , permettant d’entraver la révélation de documents secrets en autorisant les agences gouvernementales (comme le CDC) à déclarer certains documents « inexistants ». […]

 Le CDC agit manifestement à l’encontre de la santé de la population américaine. Mais la menace que présente le comportement du CDC sur la vie des Américains ne s’arrête malheureusement pas là. Il a participé à l’élaboration des lois concernant les pandémies qui permettent au gouvernement d’utiliser l’armée, en cas d’urgence pandémique déclarée, pour contraindre toutes les personnes du pays à subir des vaccins non testés, des médicaments, des produits chimiques et d’autres traitements « médicaux ».

En se basant sur le Freedom of Information Act, on peut dire que le CDC perdrait toute crédibilité s’il devait déclarer pareille urgence pandémique. Après avoir déclaré la pandémie du H1N1 en 2009, le CDC a refusé de répondre à la requête d’information de CBS qui s’en référait au « Freedom of Information Act ». A cette époque, le CDC a tenté de bloquer toute leur enquête. Ce que voulait cacher le CDC, c’était son propre rôle dans un des plus grands scandales médicaux de l’histoire, en s’en référant à des données follement exagérées sur les cas de grippe H1N1 en vue de créer une fausse impression de « pandémie » aux Etats-Unis.

Le CDC a aussi dissimulé un scandale financier concernant la fausse pandémie qui a coûté des milliards de dollars. Il y a pire, le CDC n’a pas hésité à mettre les femmes enceintes en première ligne pour un vaccin non testé qui comprenait un agent stérilisant, le polysorbate 80. Grâce au CDC, le nombre de rapports de morts fœtales a augmenté de 2.440% en 2009 comparativement aux années précédentes ; situation qui est encore plus choquante que les statistiques de fausses couches qui avaient augmenté de 700%. […]

En tentant de sauver les derniers vestiges du secret qui concerne les vaccins et en déclarant que les documents de l’Agence sont inexistants, l’Administration Obama a réduit à néant toutes ses prétentions à la transparence. Mais les lois prévues pour rendre obligatoires des vaccins pandémiques peu connus sont toujours en place et toute responsabilité a été dissoute. Il n’empêche qu’une étude canadienne vient de montrer que le vaccin contre la grippe qui contient le H1N1 et qui a tué des bébés in utero, contribue en fait à augmenter le risque de pandémie.

Les américains qui ont été dupés en soumettant leurs enfants aux vaccins meurtriers du CDC possèdent aujourd’hui des moyens de riposte. Les personnes de tous horizons, de chaque organisation doivent :

1. Prendre connaissance des textes révélés grâce au Freedom of Information Act du Royaume Uni et qui ont trait aux mensonges sur les vaccins. Ces personnes doivent prendre connaissance du refus du CDC de fournir quelque information que ce soit sur ce qu’ils savent au sujet de ces mensonges ; elles doivent aussi prendre connaissance des efforts déployés par l’administration Obama pour camoufler ce que sait le CDC au sujet de ces mensonges. Ces personnes doivent contacter leurs représentants et exiger l’annulation immédiate du calendrier vaccinal du CDC et des lois concernant les pandémies.

2. Informer chaque vétérinaire, personnel militaire, policiers, agents du DHS, ainsi que le personnel médical de toute la mystification vaccinale. Expliquer à ces personnes que leurs familles sont aussi gravement menacées. Ces personnes ne pouvaient probablement pas savoir qu’elles avaient été manipulées à l’intérieur même de leurs structures par l’industrie pharmaceutique qui les ont transformées en agents meurtriers grâce à la déclaration de « pandémie » ou « d’attaque bioterroriste ». Il est tout à fait clair aujourd’hui que les structures terroristes/bioterroristes ne sont que des escroqueries. Ainsi tous les projets qui sont envisagés pour « protéger » le pays sur la base de ces mêmes lois ne feraient que menacer l’existence et la liberté des américains.

Grâce au Freedom of Information Act (FOIA), nous savons que le calendrier des vaccinations relève du canular. Ce sont les vaccins qui constituent un danger pour la santé des enfants et des adultes Américains.

Ce sont aujourd’hui des vaccins obligatoires, mal testés avec des adjuvants dangereux qui menacent le pays et qui pourraient provoquer quantité de morts. A l’extérieur d’Atlanta, le CDC a stocké quelque 500.000 cercueils géants, construits pour être incinérés. Il commence à devenir clair que le CDC ne devrait en aucune façon être mêlé de quelque manière que ce soit aux problèmes de santé publique.

Grâce au Freedom of Information Act, nous savons aujourd’hui que les vaccins ne constituent nullement le miracle de la médecine moderne que l’on a voulu nous faire croire. Toute autorité médicale ou gouvernementale qui prétendrait que les vaccins préviennent les maladies, ignore les documents gouvernementaux comme les innombrables études qui révèlent l’exact opposé, mais ignore également les tentatives du CDC de cacher au public la vérité sur les vaccins.

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Les tampons soupçonnés de contenir de l'herbicide

Des recherches menées par des scientifiques de l’université de la Plata, en Argentine, et reprises par le site Russia Today, concluent que la majorité des tampons et serviettes hygiéniques, 85%, contiennent du glyphosate. Désherbant le plus utilisé au monde, le glyphosate est plus connu sous son nom commercial : le Roundup. Celui-ci a été jugé "probablement cancérogène" par l’OMS.

Toujours selon l’étude, ces traces de glyphosate ne seraient pas seulement présentes dans les serviettes et les tampons : cotons et compresses en contiendraient également. Ceci s’explique le fait que la quasi-totalité du coton utilisé en Argentine est génétiquement modifié.

Pétition en ligne

Quel est le risque ? "Ce pesticide ne s'accumule pas dans l'organisme mais les expositions répétées peuvent perturber le métabolisme humain", selon le docteur Laurent Chevallier, chef de l'unité de médecine environnementale du CHU de Montpellier, cité par "Ouest France". Mais comme le rappelle le quotidien, impossible de savoir actuellement à quel degré d'exposition le glyphosate devient dangereux. 

Autre problème : en France, aucune réglementation n’oblige les fabricants de tampons à communiquer sur leur composition. Cet été, une jeune française avait lancé une pétition en ligne en ligne afin que la marque Tampax fasse figurer celle-ci sur l’emballage de ses produits. Une démarche à laquelle s’est associée "60 millions de consommateurs" et qui a recueilli plus de 64.000 signatures.

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vendredi 30 septembre 2016

Confirmation du danger des OGM sur la fécondité humaine

On soupçonnait déjà que la perte de la fertilité était au nombre des graves  dégâts occasionnés, une étude récente va dans ce sens. Une étude qui, si elle n'est pas étouffée, pourrait avoir un grand impact sur les décisions à prendre à l'avenir!

En 2009, près de 3% des terres agricoles étaient couvertes d'OGM avec 134 millions d'hectares, selon l'ISAAA, qui, chaque année, fait état des cultures des plantes transgéniques dans le monde. Et le dossier des OGM alimentaires - dont de très nombreuses pages restent encore floues à ce jour - pourrait bien s'alourdir prochainement alors qu'une nouvelle pièce en provenance de Russie est sur le point d'y être ajoutée. 

Celle-ci prend la forme d'une étude, dont les résultats les plus frappants viennent d'être présentés à la presse en Russie dans le cadre de l'ouverture dans ce pays des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de l'Institute for Responsible Technology aux Etats-Unis et auteur de référence dans le monde des OGM avec notamment son ouvrage Seeds of Deception (littéralement «les semences de la tromperie») publié en 2003. Menée conjointement par l'Association Nationale pour la Sécurité Génétique et l'Institut de l'Ecologie et de l'Evolution, cette étude russe a duré deux ans, avec pour cobayes des hamsters de race Campbell, une race qui possède un taux de reproduction élevé. Ainsi, le Dr Alexey Surov et son équipe ont nourri pendant deux ans et d'une manière classique les petits mammifères, à l'exception près que certains d'entre eux ont été plus ou moins nourris avec du soja OGM (importé régulièrement en Europe) résistant à un herbicide.

Au départ, quatre groupes de cinq paires (mâles / femelles) ont été constitués: le premier a été nourri avec des aliments qui ne contenaient pas de soja, le second a, quant à lui, suivi un régime alimentaire qui comportait du soja conventionnel, le troisième a été alimenté avec en complément du soja OGM et enfin le quatrième groupe a eu des plateaux repas dans lesquels la part de soja transgénique était encore plus élevée que dans ceux du troisième.

A la fin de cette première phase, l'ensemble des quatre groupes a eu en tout 140 petits. L'étude s'est poursuivie dans une deuxième phase par la sélection de nouvelles paires issues de chacun de ces premiers groupes. Et, dans la logique du déroulement, les nouvelles paires de la deuxième génération ont, elles aussi, eux des petits, créant de fait la troisième et dernière génération de cobayes. Ainsi, il y a eu au final 52 naissances parmi les spécimens de troisième génération qui n'ont pas consommé du tout de soja, 78 parmi ceux qui ont consommé du soja conventionnel.

Mais le troisième groupe, celui qui a été nourri avec du soja OGM, n'a eu que 40 petits, dont 25% sont morts. Et, pire, dans le groupe qui a mangé le plus de soja génétiquement modifié, une seule femelle a réussi à donner naissance, soit 16 petits au total, dont 20% sont finalement morts.

Ainsi, à la troisième génération, les hamsters qui, pour les besoins de l'étude, ont eu, dans leur menu, une part importante de soja OGM, n'étaient plus capables de se reproduire...

Mais une autre surprise de taille a été observée: certains de ces hamsters issus de la troisième génération se sont retrouvés avec des poils ... dans la bouche, un phénomène d'une extrême rareté.

Selon Jeffrey Smith, l'étude du Dr Surov et de son équipe pourrait bien «déraciner» une industrie qui vaut plusieurs milliards de dollars. L'affaire est donc à suivre, mais, quoi qu'il en soit, depuis l'introduction en 1996 dans l'environnement et dans la chaîne alimentaire de produits agricoles transgéniques (issus de semences dans lesquelles y sont ajoutées un ou plusieurs gênes étrangers afin de conférer à la plante une propriété spécifique), les risques qui y sont liés restent encore très largement inconnus car très peu observés, faute d'études suffisamment longues et indépendantes, mais aussi à cause du refus des semenciers de publier leurs propres études (sauf sous la contrainte juridique) pour des raisons de stratégies industrielles et commerciales.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, le principe de précaution, dans ce domaine, semble effectivement illusoire, alors que les incertitudes scientifiques qui demeurent devraient justement le mettre au cœur du processus d'évaluation. Et, d'ailleurs, l'on peut même supposer que cette absence de précaution large et de manque de transparence vis-à-vis du public nuisent par la même occasion aux OGM agricoles expérimentaux (de seconde génération) qui ne peuvent pas être évalués dans les meilleures conditions puisque ceux qui sont actuellement sur le marché ne l'ont été que partiellement (voir le proverbe de la «charrue avant les boeufs»...).

Car l'ennui, au fond, c'est que nous tous, les consommateurs, sommes au bout de cette chaîne alimentaire: alors finalement dans l'histoire, qui sont réellement les cobayes?

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mercredi 28 septembre 2016

Ces laboratoires secrets qui mènent leurs expériences sur des humains

Des laboratoires top-secrets mènent depuis des années leurs expériences sur des cobayes humains. Une pratique aussi confidentielle qu'effrayante. Découvrez une séléction des expériences les plus choquants.

Quand la CIA efface la mémoire
La CIA américaine a mené plusieurs projets pour effacer l'identité: Bluebird (ou Artichoke, 1951-1953) et МК ULTRA (MKSEARCH, année 1950-1960). Les principaux cobayes étaient des patients inertes des cliniques neurologiques, dont la plupart ignoraient tout des expériences menées sur eux. Bluebird avait pour but de créer un sérum de vérité infaillible. En utilisant des substances psychotropes et les électrochocs, les chercheurs provoquaient chez les sujets une amnésie artificielle, leur inculquaient de faux souvenirs et "multipliaient" leur identité.
Le projet MK ULTRA était incomparablement plus coûteux et global. Il étudiait toute la diversité des moyens d'impacter la raison (y compris des enfants): de la biologie à la radiologie. Par exemple, dans le cadre d'un des 149 sous-projets, plus de 1 500 soldats américains recevaient avec leur nourriture des produits psychotropes pour évaluer leur opérationnalité "sous l'emprise des substances". L'information obtenue dans le cadre de MK ULTRA est utilisée aujourd'hui dans le travail des renseignements, même si en 1972 le projet a été fermé après un scandale et qu'une partie de sa documentation a disparu.

Pour une poignée de shekels 
L'armée israélienne a également mené des expériences sur ses soldats: on a appris en 2007 qu'entre 1998 et 2006, dans le cadre des projets secrets Omer-1 et Omer-2, des médecins militaires israéliens cherchaient un vaccin "contre une arme bactériologique similaire à l'anthrax". Les 716 soldats participant aux expériences n'ont pas été informés des risques, des éventuelles conséquences et il leur était interdit d'évoquer les détails des recherches avec leurs proches.
En 2007, un groupe d'anciens sujets souffrant des conséquences de cette expérience – tumeurs, ulcères, bronchite, épilepsie – s'est adressé au ministère de la Défense pour se plaindre de leur mauvais état de santé. Ils ont été soutenus par le syndicat des médecins et l'organisation Médecins pour les droits de l'homme qui sont allés jusqu'à la Cour suprême pour exiger une enquête. Mais ils ont obtenu l'effet inverse: le tribunal n'a pas seulement décliné la requête mais il a interdit de publier une partie des informations sur l'expérience. L'armée hésitait entre réagir en disant que rien ne s'était produit et mettre en avant que les soldats avaient accepté eux-mêmes. Il a été déclaré à la presse que les participants aux projets Omer étaient uniquement des volontaires qui savaient dans quoi ils s'engageaient et pouvaient quitter la partie à tout moment. Il a été suggéré aux victimes de s'adresser aux établissements médicaux où leur guérison promettait d'être longue, car les victimes ne disposaient pas de la moindre information sur les effets subis. Le principal concepteur de l'expérience, le docteur Avigdor Sheferman (ancien directeur de l'Institut israélien de biologie), est parti ensuite au Canada pour mener des recherches identiques dans une compagnie médicale. Les résultats des projets Omer ont été remis à l'armée américaine pour plusieurs centaines de milliers de shekels.

Une véritable ségrégation médicale
Les États-Unis sont leaders de ce genre d'expériences. C'est dans ce pays qu'entre 1932 et 1972 se déroulait une expérience qu'on pourrait considérer à la fois comme un symbole de ségrégation raciale et de barbarie médicale. A Tuskegee, Alabama, le groupe médical sous la direction du docteur Clark Taliaferro avait pour objectif d'étudier tous les stades de la syphilis.  L'étude consistait à suivre un groupe de Noirs déjà contaminés. Pourquoi? Car à cette époque ils étaient encore considérés comme moins instruits et plus influençables. La plupart ignoraient leur maladie – c'était une condition de l'expérience. Toutes les manipulations étaient présentées comme des "soins du mauvais sang". 76 des 399 participants sont restés en vie à l'issue de l'expérience. 128 personnes sont décédées de la syphilis et de ses complications. 40 hommes ont infecté leur femme et 19 enfants sont nés avec la syphilis. En 1946 l'expérience a été élargie: une partie des médecins a été envoyée au Guatemala où pendant deux ans ils infectaient sciemment des soldats, des prostituées, des prisonniers, des mendiants ou des malades mentaux – jusqu'à 5 000 personnes au total. C'est seulement en 1972 après la tribune d'un médecin dans le Washington Star qu'une commission spéciale s'est penchée sur les recherches à Tuskegee pour reconnaître leur illégitimité. Le gouvernement américain a alloué 9 millions de dollars pour aider les survivants, et 25 ans plus tard leurs proches ont entendu les excuses du président Bill Clinton. La trace latino-américaine n'a été découverte qu'en 2010 grâce à la publication des notes du docteur Cutler – l'un de ceux qui travaillaient pour ce programme au Guatemala. 750 victimes guatémaltèques ont porté plainte contre l'université Jones Hopkins, et Barack Obama a présenté ses excuses au peuple du Guatemala en la personne du président Alvaro Colom.

Des épidémies artificielles introduites dans le métro
Les chercheurs américains ne ménageaient pas vraiment leur grande nation. Des chimistes testaient sur les recrues l'effet toxique de l'ypérite (pour améliorer les masques à gaz), ou encore pulvérisaient des composants toxiques sur plusieurs villes canadiennes et américaines. Dans les années 1950, des épidémies artificielles ont été provoquées en Floride et en Géorgie. A la fin des années 1960, on a testé dans le métro de New York et de Chicago la vulnérabilité des passagers aux attaques biochimiques cachées en envoyant sous terre la bactérie Bacillus subtilis. En 1963-1969, le Pentagone a lancé sans avertissement sur les navires de sa marine plusieurs types d'armes chimiques et bactériologiques. Les analystes de la radiation soignaient à différentes époques les adénoïdes avec des barres de radium et le cancer de l'estomac (les diagnostics étaient faux) avec des injections de plutonium, nourrissaient des futures mères avec des sels de fer radioactif sous la forme d'une boisson de vitamines, faisaient exploser des bombes atomiques dans le Nevada et sur les îles Marshall, testaient l'iode radioactif sur les femmes enceintes et en nourrissaient les nouveau-nés. 

Des orphelins-cobayes
Les enfants ont toujours été les sujets les plus convoités par les chercheurs. "L'étude de l'effet des jugements de valeur sur la fluidité verbale des enfants" réalisée en 1939 à l'université de l'Iowa, connue comme "Monster study", est une expérience horrible même si elle n'a pas provoqué de nombreuses morts ni d'invalidités et impliquait seulement une influence verbale.  Le psychologue Wendell Johnson et son aspirante Mary Tudor ont sélectionné dans un orphelinat 22 enfants de différents âges, et dans les cinq mois qui ont suivi Tudor rendait régulièrement visite à chacun d'entre eux pour une conversation de 45 minutes. Certains appréciaient ces échanges car Mary les félicitait pour leur capacité de lecture et leur élocution. Mais d'autres enfants, après quelques visites, ont commencé à éprouver des problèmes d'élocution, de comportement et de réussite à l'école parce que Tudor se moquait d'eux et leur reprochait de faire des fautes verbales. Il faut dire que Johnson était guidé par un intérêt tout à fait scientifique: les véritables causes du bégaiement n'ont toujours pas été établies. Il supposait qu'il était possible de provoquer un bégaiement même en l'absence de prédispositions physiologiques. Les successeurs de Johnson et de Tudor jugent que les travaux de ces derniers sont les plus exhaustifs sur le bégaiement, y compris les premières informations qu'ils ont pu recueillir sur le rôle des sentiments et des pensées du bégayant. Par contre, les enfants traumatisés ont vécu avec leurs complexes toute leur vie. A l'issue de l'expérience, Mary Tudor est revenue plusieurs fois à l'orphelinat pour se repentir, espérant redonner aux enfants leur estime de soi. L'université, pour sa part, a tenu secrètes ces recherches jusqu'en 2001, date à laquelle la presse en a pris connaissance: l'établissement a alors présenté des excuses officielles aux victimes. En 2003, six d'entre elles ont saisi le parquet de l’État pour exiger de les indemniser pour préjudice moral. Quatre ans plus tard, ils ont obtenu 925 000 dollars pour tous les plaignants.

Une expérimentation pour éradiquer l'homosexualité dans un pays
Les victimes des expériences homophobes d'Aubrey Levin pourront difficilement compter sur une indemnité ou même une enquête officielle. Entre 1970 et 1989, l'armée sud-africaine faisait l'objet d'un "nettoyage" des recrues homosexuels. Les données officielles parlent de milliers de victimes mais nul ne connaît le chiffre réel. L'information sur ce programme a été révélée en 1995 dans le journal sud-africain Daily Mail and Guardian. Dans une interview le responsable du projet, ex-psychiatre en chef d'un hôpital militaire Aubrey Levin, affirmait: "Nous ne considérions pas les gens comme des cobayes. Nous avions seulement des patients qui voulaient guérir et venaient de leur plein gré". Il disait également pratiquer une "thérapie d'aversion sur les soldats homosexuels, sans pour autant recourir au choc électrique". Alors que s'est-il passé en Afrique du Sud à cette époque? Près de 900 opérations de "réorientation sexuelle" ont eu lieu dans des hôpitaux sud-africains dans les années 1970-1980 dans le cadre de programmes pour éradiquer l'homosexualité. Certains patients étaient "soignés" à l'aide de drogues et d'hormones, d'autres ont subi des méthodes radicales – un traitement d'aversion. Dans le cadre de ce dernier on reproduisait une forme "inadmissible" de conduite (par exemple, l'excitation de l'homosexuel avec des images pornographiques) tout en provoquant des sentiments désagréables (par exemple, un électrochoc), avant de montrer une image positive (photo d'une femme nue) sans électrochoc. La pratique traditionnelle admet le traitement d'aversion uniquement en dernier recours, et même dans ce cas le sentiment désagréable doit être équivalent à la piqûre d'une aiguille, et non faire voler en l'air les chaussures de l'individu, comme ce fut le cas dans les expériences de Levin. La mesure extrême du projet Aversion était la castration ou un changement forcé de sexe, et beaucoup de ceux qui l'ont subi ont choisi le suicide plutôt que de vivre dans un corps étranger. Finalement, la partie "scientifique" du projet fut un fiasco mais les seuls ennuis que ses instigateurs ont connu étaient avec leur propre conscience.

La conscience par intraveineuse
Certains ignorent que les exploits des chercheurs soviétiques dans l'élaboration de poisons ont même dépassé le niveau atteint par les expériences des nazis. Le "Cabinet spécial" (Laboratoire 1, Laboratoire X, Cellule), laboratoire toxicologique créé en 1921 par la direction du NKVD dirigé par le professeur Grigori Maïranovski, procédait à la recherche de poisons impossibles à identifier. Les expériences étaient menées sur des détenus condamnés à la peine capitale: 10 personnes pour chaque produit (sans compter les expériences sur les animaux). L'agonie de ceux qui ne mourraient pas immédiatement était suivie pendant 10-14 jours avant de les achever. Le poison recherché a été finalement trouvé: le carbylamine-choline-chloride ou K-2, qui tuait en 15 minutes et sans traces (les médecins légistes indépendants diagnostiquait un décès pour insuffisance cardiaque). Grigori Maïranovski travaillait également sur le "problème de sincérité" pendant les interrogatoires avec des produits médicaux et élaborait des poisons en poussière qui tuaient quand on les respirait… Au total, le Laboratoire 1 a fait entre 150 et 300 victimes (des criminels mais également des prisonniers de guerre), parmi lesquelles on peut également compter les médecins de la Cellule: des années plus tard Maïranovski, finalement condamné, écrivait que deux de ses collègues avaient mis fin à leur vie, que deux autres avaient perdu la capacité de travailler et que trois étaient devenus alcooliques.

Les testicules de jeunesse éternelle
La création d'un poison idéal sera probablement toujours d'actualité, tout comme la recherche de la pierre philosophale et de la fontaine de jeunesse. Par exemple, le professeur Preobrajenski du Cœur de chien écrit par Mikhaïl Boulgakov, pratiquait une méthode de rajeunissement assez répandue pour les années 1920: son homologue vivant aurait pu être le docteur américain Leo Stanley – à l'exception de leur mentalité. Ce médecin en chef d'une prison de San Quentin (Californie) était un adepte de l'eugénisme et testait différentes méthodes de purification de la race humaine: la chirurgie plastique (car la laideur extérieure provoque la laideur intérieure et inversement), les manipulations des glandes génitales et, pour finir, la stérilisation.
Il a commencé à mener des expériences sur le rajeunissement en 1918 en transplantant aux détenus âgés les testicules de jeunes criminels exécutés. La "matière première" a rapidement commencé à manquer et le docteur s'est alors orienté vers les animaux en utilisant des testicules de boucs, de sangliers et de cerfs. D'après ses rapports, les sujets éprouvaient un "gain de forces et se sentaient mieux" – on ignore s'il s'agissait d'un effet placebo ou d'un véritable rajeunissement mais le docteur promettait la seconde variante. Un autre but de l'étude était de confirmer l'hypothèse selon laquelle le comportement criminel dépendait des problèmes hormonaux. Pour régler les deux problèmes, il fallait donc stériliser le sujet — 600 détenus ont subi ce traitement jusqu'en 1940. Certains d'entre eux ne voulaient pas avoir d'enfants, d'autres voulaient rajeunir: le docteur Stanley présentait la stérilisation comme un moyen permettant de rajeunir et de guérir, il avait promis à certains un régime de détention plus souple. Cependant, son véritable objectif était de pacifier les gènes "criminels" et l'instinct sexuel qui poussait selon lui le criminel à récidiver. Il a poursuivi ses recherches jusqu'en 1951, et compte tenu de sa contribution à la réforme des établissements médicaux cette activité ne paraît pas absolument insensée.

L'hôpital du docteur Cotton
Contrairement aux recherches d'Henry Cotton, l'élève d'Alzheimer en personne à 30 ans déjà (à partir de 1907) dirigeait un hôpital psychiatrique à Trenton (New Jersey). Le poste de médecin en chef lui accordait de vastes opportunités pour tester en pratique son hypothèse sur l'origine des troubles psychiques. Il estimait que les gens devenaient fous par infection et que le foyer de cette dernière se trouvait avant tout dans les dents malades — très proches du cerveau. Par conséquent, la première procédure subie par les patients de Cotton était l'arrachage de dents.
Si cela ne fonctionnait pas, on continuait de chercher l'infection au hasard (ou par ablation): dans les amygdales, la vésicule biliaire, l'intestin, l'estomac, les testicules, les ovaires… Même la famille de Cotton n'a pas échappé à cette "chirurgie bactériologique" (nom donné par l'auteur de la méthode): il a arraché les dents de son épouse, de ses deux fils et même les siennes. Ce dernier acte avait été précédé par une dépression nerveuse suite à l'ouverture d'une enquête dans sa clinique par une commission du sénat local. Malgré les données reflétant une efficacité élevée de sa méthode (85% de guérison) diffusées activement par le docteur dans ses discours et ses articles, ainsi que la forte popularité de l'hôpital de Trenton (même les hommes aisés et les célébrités y envoyaient leurs proches pour une grande somme d'argent), en 1924 le conseil de tutelle a senti que quelque chose ne tournait pas rond et a consulté l'université Jones Hopkins. La docteure Phyllis Greenacre envoyée à l'hôpital pour vérifier les statistiques a découvert que seulement 8% des patients de Cotton guérissaient, 41,9% ne ressentaient aucune amélioration et 43,4% mourraient. Sachant que les 8% n'avaient pas subi de soins et que les 43,4% décédés avaient fait les frais de la pratique de Cotton.  L'enquête de la commission créée par le sénat local avait précisément pour but de découvrir les causes de cet état de fait mais elle a à peine eu le temps d'entamer son travail: des collègues de renommée et même des hommes politiques ont pris la défense de Cotton, qui a tranquillement repris son travail pour prendre sa retraite cinq ans plus tard. Personne n'a voulu poursuivre ses recherches.

Les bonnes nouvelles
Au courant de l'été 2014, les utilisateurs anglophones de Facebook ont été surpris d'apprendre que 689 003 d'entre eux avaient joué le rôle de cobayes contre leur gré dans une expérience conjointe des chercheurs américains et du réseau social. Les résultats parus dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences stipulaient: "Les états émotionnels peuvent être transmis à d'autres individus à travers une infection émotionnelle, après quoi, sans en être conscients, ils peuvent éprouver les mêmes émotions". Cela signifie que la bonne et la mauvaise humeur sont contagieuses de la même manière que l'absence d'un contact direct n'empêche pas cette infection. L'expérience était simple: un groupe de sujets recevait dans son fil d'actualité des posts positifs, l'autre des messages négatifs. Les utilisateurs ont immédiatement réagi: les "heureux" ont commencé à publier des commentaires optimistes et le groupe attaqué par des posts négatifs a commencé à écrire des choses négatives.
Les militants ont critiqué les méthodes des chercheurs et ont même supposé que pour certains, le contenu négatif avait pu être "la dernière goutte" — mais avec autant de probabilité le contenu positif a aussi pu redonner espoir à quelqu'un. Dans l'ensemble, les deux manipulations peuvent être perçues comme un petit pas vers la sophistication des méthodes pour influencer le public. Par conséquent, il faut remettre en question et analyser tout ce qui tombe dans le champ de votre attention, sans oublier la probabilité qu'à chaque instant vous faites peut-être partie d'une expérience.

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