lundi 10 avril 2017

Grand Moyen-Orient : l'Algérie, prochaine cible des Etats-Unis et Israël

Grand Moyen-Orient : l'Algérie, prochaine cible des Etats-Unis et Israël

Algérie Maghreb - Selon des experts, les complots des Etats-Unis et de leurs alliés régionaux (Israël, Arabie saoudite et Qatar) sont loin d’être terminés.
Dans le cadre du projet du « Grand Moyen-Orient », les Etats-Unis et le régime sioniste chercheraient à déstabiliser l'Algérie.

L’Algérie serait la prochaine cible des Etats-Unis et du régime sioniste dans le cadre du fameux projet du « Grand Moyen-Orient ».

L' analyste Mustapha Qotbi écrit : « Les mouvements réformateurs dans les pays du Nord de l’Afrique, surtout en Tunisie et en Egypte, sont abouti à la prise du pouvoir par les groupes islamistes.
Ceci étant fait, les puissances occidentales ne se sentaient plus obligées de se servir des leviers militaires pour assurer leurs intérêts dans ces pays. »

Au-delà des conflits au Mali, au Nigeria, au Niger, Au Tchad, Au Sénégal ou en Mauritanie, et sans oublier l’intervention militaire de la France au Mali, il paraît que l’objectif principal des Etats-Unis et du régime israélien est plutôt les côtes africaines de la Méditerranée, notamment l’Algérie.

Compte tenu de sa situation géostratégiques et l’existence d’immenses réserves du pétrole et de gaz, l’Algérie s’avère être la prochaine cible des Etats-Unis et du régime sioniste pour créer des tensions pareilles à ce qui s’est déjà produit dans des pays comme l’Egypte, la Tunisie, le Yémen et la Libye, ou encore la Syrie.

A présent, les grandes puissances travaillent sur ce projet, et il paraît que certains médias arabes sont déjà sensibles à ce projet, sans y insister pourtant dans leurs analyses. Le « combat d’Algérie » a été reporté pour le moment, mais l’inaction des puissances impérialistes et des groupes takfiris ne durera pas éternellement.

Depuis deux ans, les activités qui visaient la mobilisation populaire en Algérie pour déclencher un mouvement islamiste radical ne sont pas arrivées à un résultat important. En effet, la situation de l’Algérie est très différente de celle de la Syrie, et il serait donc très difficile de déclencher un mouvement armé en Algérie sans l’implication directe des puissances étrangères.
Pourquoi l’Algérie ? Et Pourquoi maintenant ?

Etant donné le rôle et l’influence de l’Algérie dans le monde arabe et en Afrique, ce pays a toujours attiré l’attention des Etats-Unis et du régime sioniste qui y voient une porte pour s’infiltrer dans les pays arabes du nord de l’Afrique. Et ce d’autant plus que dans la crise syrienne, l’Algérie a pris position contre les complots de Washington et de Tel-Aviv à l’encontre des peuples du Moyen-Orient. Sur le plan international, l’Algérie a adopté une position modéré et équilibré par rapport à la crise syrienne.

A titre d’exemple, Alger s’est opposé à la remise du siège de la Syrie à la Ligue arabe aux opposants au gouvernement de Damas. C’est pourquoi l’Algérie semble devenir la prochaine cible des complots des Etats-Unis et du régime israélien, sans oublier la colère contre l’Algérie de certains pays arabes dont l’Arabie saoudite, le Qatar et les autres pays arabes du sud du golfe Persique. Les origines de cette campagne médiatique contre l’Algérie remontent à l’époque de la guerre de 2003 contre l’Irak.
Elle s’est intensifiée depuis 2001, c’est-à-dire depuis le déclenchement de la crise en Syrie.

Dans le cadre de cette guerre médiatique, les Etats-Unis et le régime sioniste mobilisent les médias occidentaux et certains médias arabes dont les chaînes Al-Jazeera et Al-Arabiya, pour lancer une vaste campagne anti-algérienne sous prétexte de défendre la démocratie, les libertés les droits de l’homme dans ce pays arabe.

En coordination avec ces chaînes, les deux autres chaînes arabophones, c’est-à-dire Al-Maghrebiya et Al-Mesr, contribuent aux efforts visant à falsifier les réalités de la société algérienne, sans hésiter même à insulter le peuple algérien.

Simultanément à cette vaste campagne médiatique, Abbas Madani, membre des Frères musulmans algériens et leader de l’ancien Front national du salut, qui vit actuellement au Qatar, a publié un communiqué, diffusé par l’Agence de presse allemande, pour mettre en garde contre une explosion politique et sociale éminente en Algérie, en estimant que le gouvernement algérien en serait le seul responsable.

Dans ce cadre, nous pouvons évoquer aussi les propos du Premier ministre du régime sioniste, Benjamin Netanyahu, lors de sa rencontre avec le président des Etats-Unis, Barack Obama en Palestine occupée.
Il avait déclaré que Tel-Aviv souhaitait que tous les pays arabes rejoignent le mouvement pour la paix avec le régime israélien.

En effet, en faisant allusion aux évolutions du Printemps arabe, le Premier ministre du régime sioniste souligne que les évolutions issues du Printemps arabe étaient plutôt dans l’intérêt de Tel-Aviv et de Washington.
Il s’agit peut-être de ce que Bernard Henri Levy appelle la révolution arabe.

Dans un entretien avec une chaîne de télévision arabe, Levy avait déclaré qu’il souhaitait qu’une révolution ait lieu en Algérie. Levy est né en 1948 dans une famille juive en Algérie Le 25 janvier 2001, il était sur la place Tahrir au Cire parmi les révolutionnaires, et le 17 février 2011, il était à Benghazi en Libye. Il a participé à la réunion des opposants syriens à Paris, et c’est lui qui avait déclaré que l’armée du régime sioniste était l’armée la plus morale du monde.

Quant à l’Algérie, Bernard Henri Levy a toujours soutenu la création d’une entité politique amazigh en Algérie.
En soutenant cette idée, il mettait en doute l’unité nationale algérienne et prônait pour la division ethnique et sociale, voire une guerre civile dans ce pays.
L’Algérie est l’un des plus grands pays de l’Afrique

L’instabilité intérieure de l’Algérie pourrait faciliter le transfert d’armes par les terroristes par les longues frontières que le pays partage avec la Tunisie, la Libye ou le Mali. En outre, il faut souligner que comme la Libye, les grandes villes de l’Algérie se trouvent très loin les unes des autres.

Outre les propos de Levy, il faut souligner aussi que les médias américains et occidentaux sont mécontents, eux aussi, de la prise de position de l’Algérie par rapport à la crise syrienne. Face à la position d’Alger qui s’opposait à l’intervention étrangère dans les affaires intérieures de la Syrie, les pays comme le Qatar, l’Arabie saoudite et les autres monarchies arabes du sud du golfe Persique avaient menacé l’Algérie, en disant que les vagues du Printemps arabe pourraient arriver aussi dans ce pays du nord de l’Afrique.

Le régime sioniste avait rejoint le front de ce pays arabes pour menacer l’Algérie, en mars 2013, le quotidien israélien Haaretz avait publié un article lequel menaçait l’Algérie en raison de sa position quant à la crise syrienne, en estimant que l’insécurité et l’instabilité pourraient gagner aussi l’Algérie.
Voilà donc autant d’indices qui témoignent de la décision des Etats-Unis, du régime sioniste et de leurs alliés arabes pour fomenter des complots contre l’Algérie.

Anouar Malek, journaliste en ancien officier de l’armée algérienne, a écrit récemment un article pour mettre en garde contre les dangers qui menacent les pays du Nord de l’Afrique notamment l’Algérie.
Il a écrit « Là où il y a du pétrole, il y a aussi le risque de l’intervention des colonialistes étrangers.
Aujourd’hui, l’Algérie est menacée par le terrorisme, mais nous pouvons prévoir aussi de nouveaux défis contre l’Algérie comme celui de la guerre civile ou le séparatisme. »

Anouar Malek a rappelé que les frontières parmi les pays arabes ont été tracées généralement par les colonialistes occidentaux, et qu’aujourd’hui, ces mêmes puissances souhaiteraient de modifier ces frontières à leur souhait.
Nombreux sont des analystes politiques et militaires dans les pays arabes et occidentaux qui estiment que les pays du Maghreb arabe se trouvent dans une situation très inquiétante, et déclarent que l’absence d’une vigilance de la part des nations et des gouvernements de ces pays pourraient avoir des conséquences tragiques.
Ces analyses soulignent que les événements tragiques de l’Algérie dans les années 1980 montrent que le terrain pourrait être favorable dans ce pays pour la survenance d’une nouvelle crise.
Jusqu’à présent, les Etats-Unis ont payé très cher leur politique interventionniste dans le monde arabe, politique dont l’objectif principal est de soutenir à tout prix les intérêts du régime israélien.
Dans ce cadre, certains analystes mettent en garde contre de nouveaux complots de la part des Etats-Unis et du régime sioniste, en coordination avec leurs alliés régionaux (Arabie saoudite, Qatar et Turquie) contre l’Algérie.

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La Promesse du Prophète Muhammad Salla Allahou Alayhi wa alihi à Ste Catherine

Ceci est une preuve de la veillance du Prophète Muhammad Salla Allahou Alayhi wa alihi sur les gens du livre.

« Ceci est un message de Muhammed ibn Abdoullah, constituant une alliance avec ceux dont la religion est le christianisme ; que nous soyons proches ou éloignés, nous sommes avec eux. Moi-même, les auxiliaires [de Médine] et mes fidèles, nous nous portons à leur défense, car les chrétiens sont mes citoyens. Et par Dieu, je résisterai contre quoi que ce soit qui les contrarie. Nulle contrainte sur eux, à aucun moment. Leurs juges ne seront point démis de leurs fonctions ni leurs moines expulsés de leurs monastères. Nul ne doit jamais détruire un édifice religieux leur appartenant ni l’endommager ni en voler quoi que ce soit pour ensuite l’apporter chez les musulmans. Quiconque en vole quoi que ce soit viole l’alliance de Dieu et désobéit à Son prophète. En vérité, les chrétiens sont mes alliés et sont assurés de mon soutien contre tout ce qui les indispose. Nul ne doit les forcer à voyager ou à se battre contre leur gré. Les musulmans doivent se battre pour eux si besoin est. Si une femme chrétienne est mariée à un musulman, ce mariage ne doit pas avoir lieu sans son approbation. Une fois mariée, nul ne doit l’empêcher d’aller prier à l’église. Leurs églises sont sous la protection des musulmans. Nul ne doit les empêcher de les réparer ou de les rénover, et le caractère sacré de leur alliance ne doit être violé en aucun cas. Nul musulman ne doit violer cette alliance jusqu’au Jour du Jugement Dernier (fin du monde). »

DEPLACEMENT DES POPULATIONS EN SYRIE : La Grand Israël se construit doucement

Selon un rapport du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), on assiste à un nombre record de déracinés en Syrie. Les Syriens, dont le pays s'enfonce dans la guerre civile depuis mars 2011, représentent l'essentiel des 2,5 millions de réfugiés supplémentaires recensés l'an dernier. Mais à quelle fin tous ces déplacements de populations ? Réponse : le Grand Israël.

En effet, depuis le début du conflit, près de 3  millions d'entre eux ont trouvé refuge au Liban, en Turquie, en Irak ou en Jordanie et 6,5 millions ont été déplacés dans leur pays. Ce sont aussi 5 millions de Palestiniens relève, par ailleurs, l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA). 

Le Grand Israël   
Le Grand Israël fait référence à des revendications historiquement sionistes puis israéliennes qui prônent l'extension de l'État d'Israël sur un territoire plus vaste. Ces revendications à caractère politique se retrouvent dans tous les milieux mais se basent sur des considérations religieuses, nationalistes ou de sécurité. Certaines ont été actées de facto par des annexions ou par une politique de colonisation. Le Grand Israël fait, aussi, référence à des zones géographiques différentes selon le contexte. Il s'entend généralement comme Grand relativement à l'État d'Israël dans ses « frontières internationalement reconnues » par une déclaration tripartite des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de la France en 1950 avant l'entrée à l'ONU du pays. Dans un contexte religieux, le Grand Israël fait référence aux territoires promis par Dieu au Peuple juif et qui, selon la tradition, s'étendent « du Nil à l'Euphrate », recouvrant ainsi la Palestine historique (Israël, Cisjordanie, bande de Gaza, le Liban, la Syrie, la Jordanie, une partie de l'Irak, une partie de l'Égypte dont le Sinaï). Selon certaines interprétations, cette promesse n'inclut toutefois pas le Sinaï mais se limite à peu près à la frontière actuelle entre Israël et l'Égypte. 

La terreur, un instrument efficace 
«La terreur est un instrument que les Etats-Unis utilisent, pour pouvoir mettre en application leur stratégie, à long terme, dans le monde arabe. Cela, c’est quelque chose de bien clair et net, sans qu’on ait besoin des documents déclassifiés de Washington, pour le découvrir», indique le journal syrien, "Al-Watan". «Les documents, récemment, déclassifiés de Washington, font preuve de l’implication de ce dernier, dans la formation et la propagation du groupe Daesh. Ces documents montrent, aussi, que les chefs de l’opposition syrienne ont rencontré, en 2012 et 2013, les responsables israéliens. Avons-nous, vraiment, besoin de documents déclassifiés, pour découvrir toutes ces réalités ?  Dès l’émergence et la montée en puissance du groupe terroriste Daesh, en Irak et en Syrie, la Maison Blanche a annoncé que la lutte anti-Daesh prendra des décennies, et que ce groupe ne pourra pas être éradiqué, en un ou deux ans. C’est ainsi qu’elle a tracé une feuille de route, pour la soi-disant Coalition anti-Daesh, pendant les vingt années à venir. Aujourd’hui, ce n'est plus un secret pour personne que la création d’une coalition anti-Daesh n’était qu’un tapage médiatique, dès le début, plutôt qu’une réalité concrète. La soi-disant Coalition anti-Daesh ne lutte pas contre Daesh ! Tout ce qu’elle fait consiste à lancer une poignée de frappes sélectives, pour rendre le terrain propice à l’application de la stratégie des Etats-Unis, une stratégie, qui comprend, aussi, la mise sur pied de Daesh.  La plupart des médias des pays arabes se plaignent de l’absence d’une bonne stratégie américano-occidentale, pour éradiquer Daesh, tandis que le problème n’est pas l’absence d’une stratégie, la stratégie existe, en effet, mais on la cache. Il n’y a point de doute que Washington avait, déjà, tracé une stratégie définie, voire, mise sur le papier, pour les objectifs qu’il cherche à atteindre, via le groupe Daesh. D’où les attaques sélectives de la Coalition contre les terroristes de Daesh ! Les objectifs cachés que les Etats-Unis veulent réaliser, par l'intermédiaire de Daesh, apparaissent, les uns après les autres. Dans la foulée, le général Martin Dempsey a fait part, il y a deux jours, de la décision des Etats-Unis d’implanter des bases militaires, en Irak, afin de pouvoir lutter contre Daesh. Ayant quitté, un jour, l’Irak, sous la pression des forces de la résistance populaire, les forces américaines s’installent, de nouveau, en Irak, pour l’occuper, sous prétexte de la lutte anti-Daesh. En Syrie, les frappes sélectives de la Coalition anti-Daesh contre les positions des terroristes cachent un objectif néfaste de Washington : partitionner la Syrie, favoriser la mise en place des régimes autoritaires et indépendants et permettre à Daesh de s’installer et de se répandre, dans les régions déterminées par la Maison Blanche. Sinon, comment un groupe terroriste pourrait-il avoir autant d’armes, de fonds, de munitions et de mercenaires, juste un an après sa formation ? Comment un nouveau groupe armé pourrait-il s’étendre, depuis l’Irak et la Syrie, jusqu’en Libye et en Tunisie, d’autant plus qu’il est classé parmi les organisations terroristes. 

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samedi 8 avril 2017

Organisation « médecins suédois pour les droits de l'homme » (SWEDRHR): les casques blancs n'ont pas sauvé les enfants syriens


Organisation « médecins suédois pour les droits
de l'homme » (SWEDRHR) a révélé l’escroquerie des soi-disant « Casques blancs »: ceux qui se disent sauveurs et volontaires n’ont pas sauvé les enfants syriens, mais au contraire, ils les ont tué afin de filmer des clips médiatiques plus réalistes.
Après avoir vérifié les vidéos enregistrées, qui montrent la souffrance des enfants syriens suite à l’attaque chimique, des experts suédois ont conclu que les  soit disant sauveurs ont en fait injecté à l’enfant de l'adrénaline dans la région du cœur avec une seringue à longue aiguille, sachant que les premiers secours aux victimes d'une attaque chimique ne se fait pas ainsi. En plus, il n’y a pas eu de pression sur l’extrémité des seringues dans le clip vidéo enregistré,  cela signifie qu'ils n’ont pas injecté de médicament à l’enfant.

Selon la vidéo, les médecins suédois ont expliqué que l'enfant a été anesthésié, l'enfant filmé en train de mourir à cause de la dose accrue d’anesthésiant. Aucun enfant ne présentent aucun symptôme d’intoxication aux gaz chimiques. C’était un assassinat filmé et présenté comme une opération de sauvetage selon le journal américain « Veterans Today »..

De plus, les médias occidentaux n’ont pas traduit correctement ce qu’on entendait en arrière-plan de l’ « opération de sauvetage » apparente, quelqu'un ayant demandé: « Comment puis-je placer mon enfant avant le tournage? », et personne n’a prononcé "sauvez les enfants  ".

Cette organisation des « Casques blancs » a été créé il y a quatre ans, prétendument pour exercer ses activités en tant qu’humanitaire et volontaire, avec neutralité et impartialité, comme affiché. Cette organisation a été exposée aux critiques à plusieurs reprises pour sa diffusion de mensonges comme par exemple au mois de Septembre de l'année dernière où elle a été accusée de fabrication d’images truquées pour convaincre l'opinion publique internationale que des avions militaires russes ont bombardé des quartiers résidentiels en Syrie. Mais il est apparu plus tard, que ces photos ont été prises en Palestine une semaine avant le début de la compagne des forces aériennes russes en Syrie.

L'expert militaire Haitham Hassoun: Les armes chimiques entre la vérité et les scènes de falsification


Ces derniers jours ont vu et voient encore, l’orchestration d’une campagne médiatique, politique et diplomatique contre l'état Syrien l’accusant de l'utilisation d'armes chimiques à Khan Sheikhoun au sud de la ville d'Idlib.

Il est remarquable que les pays sponsors de la guerre en Syrie ont traité l’accusation comme si elle était une vérité indiscutable, et les appels à demander des comptes aux dirigeants syriens ont commencé, dirigeants traités non pas comme accusés, mais comme les véritables auteurs des faits. Aussitôt, les appels pour des réunions urgentes du Conseil de sécurité, des organisations de défense des droits de l'homme, et l'Organisation des armes chimiques ont fusés.

Cela montre clairement que le crime a été prémédité, et que sa mise en scène a été faite pour tenter de renouveler des événements similaires par lesquels les pays sponsors de la guerre en Syrie ont réussi à réaliser des gains politiques.

Cette désinformation est devenue plus facile à détecter et démystifier, et les provocations ne peuvent plus être imposées à l'état Syrien et ses alliés.

Pour en revenir à l'événement et des questions qu’il soulève, nous voyons ce qui suit : toutes les données et les images transmises depuis la scène du crime à Khan Sheikhoun indiquent le coupable.

1..Il n’y a pas de trace de destruction ou de bombardement de la zone en question. Ceci contredit le bombardement aérien allégué.

2 .. Il n'y a aucun signe de blessures physiques sur les corps des victimes filmées ou photographiées, la plupart des enfants, et il semble clair qu’elles elles ont été exposées à des substances chimiques dans un endroit clos ou même par injection. Ceci indique précisément que la substance toxique utilisée a été administrée localement avec des objectifs spécifiques et non pas par un missile ou un obus d’artillerie.

3 .. La manière d’agir des sauveteurs qui n’ont pris aucune mesure préventive, indique leur connaissance du type précis du gaz, de ses spécifications et la durée de son activité toxicologique. Les manières théâtrales de ces sauveteurs nous ramènent au travail des casques blancs.

4 .. L'armée syrienne ne fabrique les munitions des avions bombardiers et de chasse, elles sont d’origine russe et la Russie ne livre pas d'armes de destruction massive à aucun pays du monde, les pilotes de l'armée de l'air syrienne n’étant pas formés à traiter avec des armes non conventionnelles, ce qui nie la calomnie. Le début de cette campagne parlait d’avion bombardier, on pourrait revenir à la rencontre sur France 24 à 11h heure de Damas, avec le terroriste, qui parlait et décrivait le processus de ciblage présumé, je participais à l’émission, et j’ai réfuté ses dires.

5 .. La campagne médiatique et diplomatique et la rapidité de la préparation du projet de résolution du conseil de sécurité prouve que tout a été préparé et coordonnées.

Quant à parler de la présence des forces aériennes syriennes dans la zone, ceci ne légitime pas l'accusation qui lui est faite. De fait, l'armée syrienne mène une bataille défensive au nord de Hama, et a conduit une contre attaque au bout de laquelle elle a réussi à reprendre de vastes étendues de zones, perdues au début de l'attaque hostile.

Comme l’armée progresse, il n'y a pas de justification militaire pour l'utilisation des armes chimiques. De plus, elle ne peut pas le faire parce qu’elle se  déplace le sens opposé du vent qui prévaut dans la région. Ceci est une donnée climatique qui contredit la possibilité d'utilisation. .

.. Avec la prise en compte de la livraison par l'état syrien de toutes ses armes chimiques, c’est à dire l’absence définitive de la matière chimique même, ceci selon le propre aveu de l'Organisation sur les armes chimiques des Nations Unies

Pour en revenir aux objectifs, peuvent être considérés comme directement à deux objectifs.

* ... L'objectif immédiat du crime est de stopper les progrès de l'armée syrienne au nord de Hama, et de lui barrer la route d’Idlib...Le retour à nouveau sur la scène des zones d'interdiction aérienne et des zones sécurisées, ceci rend au rôle turc son lustre.

.. et faire croire que l'échec de l'opération militaire des terroristes vers la ville de Hama est dû à l'utilisation d'armes chimiques et non pas à la fermeté de l'armée syrienne et ses opérations.

* ... L'autre objectif est de justifier l'occupation américaine de portions du territoire de la Syrie et l'utilisation de mercenaires des forces qui opèrent ses ordres.

C’est une tentative américaine de retrouver son rôle de premier plan pour la coalition des pays sponsors de la guerre en Syrie après avoir laissé ce rôle à la Turquie dans la phase précédente de la fin du mandat d'Obama.

mardi 31 janvier 2017

Un holocauste Musulman, le nazisme bouddhiste

L'Holocauste rappelle d'habitude l'armée hitlérienne, le nazisme, le camp Auschwitz, et les "6 millions de juifs" qui, selon une version officielle/manipulée de l'histoire, sont morts durant la seconde guerre mondiale.
Le livre du 20e siècle a été clos, mais cet holocauste est toujours évoqué, Israël, se voulant "état juif", blâme toujours le monde pour les morts.
On est dans le Vingt et unième siècle, un autre génocide est commis, mais pas en Allemagne ni par Hitler. En Birmanie, les Rohingyas, une minorité musulmane, souffre de la barbarie dans toute sa splendeur. Toute la sauvagerie humaine est pratiquée sur les musulmans: viol, meurtre, égorgement, amputation, etc. Les autorités Birmanes Bouddhistes ne cessent de persécuter les musulmans du pays.
Cet "Holocauste Musulman" est couvert d'un silence médiatique international et une totale indifférence des organisations mondiales, car tous, ils préfèrent ne défendre que la cause de leur sponsors sioniste.

©Imane Ayadi

samedi 28 janvier 2017

Aux origines de Mohamed Ben Abdelwahab et la Dynastie des Saouds

Origines juives d’Ibn Abdel Wahhab ?
Un autre écrivain, D. Mustafa Turan a écrit dans « Les Juifs Donmeh », que Muhammad ibn Abdul Wahhab était un descendant d’une famille de Juifs Donmeh de Turquie. Les Donmeh étaient les descendants des disciples du tristement célèbre faux-messie du judaïsme, Shabbataï Zevi, qui a choqué le monde juif en 1666 en se convertissant à l’islam. Considéré comme un mystère sacré, les adeptes de Zevi ont imité sa conversion à l’islam, bien que secrètement, ils soient restés juifs, avec leurs doctrines kabbalistiques. Turan soutient que le grand-père d’Abdul Wahhab, Sulayman était en fait Shulman, ayant appartenu à la communauté juive de Bursa en Turquie. De là, il s’est installé à Damas, où il a feint d’être musulman, mais il a apparemment été expulsé pour pratique de la sorcellerie kabbalistique. Il s’est alors enfui en Égypte et il a de nouveau à faire face à une autre condamnation. Il a alors émigré au Hedjaz, où il s’est marié et a eu son fils : Abdul Wahhab. Selon le rapport irakien, la même ascendance est confirmée dans un autre document intitulé « Les Juifs Donmeh et l’origine des wahhabites en Arabie », écrit par Rifaat Salim Kabar.

Origines juives de la dynastie saoudienne ?
Le fait que la famille saoudienne soit d’origine juive a été publié par un saoudien, Mohammad Sakher , qui a été ensuite liquidé par le régime saoudien pour avoir osé publier ses révélations.
Par ailleurs, le rapport irakien fait référence à un compte-rendu similaire aux révélations de Mohammed Sakher, mais il cite des sources différentes. Selon « Le Mouvement wahhabite / La Vérité et Racines », par Ibrahim Abdul Wahhab Al-Shammari, ibn Saoud est réellement descendu de Mordechai Ben Ibrahim bin Mushi, un marchand juif de Bassorah. Celui-ci a fréquenté des membres de la tribu arabe de Aniza, puis il a voyagé avec eux dans le Najd, puis a prétendu être un membre de cette tribu. Il a alors changé son nom en Markhan bin Ibrahim bin Musa. Or, selon al Saïd Nasir, ambassadeur d’Arabie Saoudite au Caire, dans « l’histoire de la famille Saoud », Abdullah bin Ibrahim al Mufaddal a payé Muhammad Al-Tamimi 35000 jouneyh (Livres) en 1943, pour inventer deux arbres généalogiques (1) de la famille saoudienne et (2) d’Abdul Wahhab, et de les fusionner ensuite en un seul arbre remontant au prophète Mahomet. En 1960, la station « Sawt El Arabe » émettant du Caire, en Égypte et la station de radiodiffusion de Sanaa, au Yémen, ont confirmé les origines juives de la famille saoudienne.