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lundi 21 novembre 2016

Le SIDA est créé en vue de...

Le docteur Robert Gallo de l'institut de virologie humaine de Baltimore aux USA.Il affirme avoir crée intentionellement le virus du sida pour exterminer les humains.La cia vise surtout à exterminer la race noire et les homosexuels.

En Avril 1984, le Dr Robert Gallo a déposé une demande de brevet aux États-Unis pour son invention, le virus VIH / SIDA.

Normalement, quand un brevet est déposé et approuvé, on doit payer une somme pour protéger le brevet payer une sorte de taxe.Dr Gallo a pu déposer son brevet gratuitement.

DES SCIENTIFIQUES ASSURENT AVEC 100 POUR CENT DE CERTITUDE QUE LE LABORATOIRE GENESIS A CREE LE VIRUS DU SIDA
Ainsi, en maintenant les lois de propriété intellectuelle dans toute leur interprétation, il faut seulement admirer pourquoi le Dr Gallo n'a pas encore déposé une procédure visant à recouvrer des dommages de l'utilisation de son invention?

Aussi étrange que cet état de choses pourrait paraître, il porte nécessité d'un examen supplémentaire.

preuve scientifique est complète et convaincante, le virus du sida est une conception bi-produit du programme de Virus spécial des Etats-Unis. Le programme Spécial Virus était un programme de développement du virus fédéral qui a persisté dans l'U.S de 1962 jusqu'en 1978.

Le Virus spécial des Etats-Unis a ensuite été ajouté à des vaccins inoculés en Afrique et à Manhattan.

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Peu après, le monde a été englouti avec des infections massives de virus de l'animal de quelqu'un qui différait de toute maladie humaine illustre, il était très contagieuse et plus significative.

Un examen de la spéciale Graphique Virus Flow ( «logique de recherche") révèle les Etats-Unis cherchaient une «particule de virus qui pourraient avoir un impact négatif sur les mécanismes de défense du système.

Le programme cherche à modifier l'ordination de la particule virale au cours de laquelle pour l'épissure chez l'animal de grade d'associé "maladie débilitante" dénommé "Visna".

Selon les Actes du nous d'Amérique, le SIDA est un processus biologique, le développement de laboratoire du virus Visna particulière, d'abord détecté chez le mouton islandais. Récemment, les scientifiques américains et mondiaux assurent avec 100 pour cent de certitude la genèse de laboratoire du SIDA.

Ce fait est plus souligné une fois on examine la nature »se multiplient-épissé 'de la séquence' tat du VIH et 1971 papier Virus spécial du Dr Gallo,« transcriptase inverse de type C Particules de virus d'origine humaine ".Dr. 1971 papier Virus spécial Gallo est identique à sa 1984 annonce du SIDA.

Après réexamen du dossier révèle qu'il a déposé son brevet sur le sida, avant qu'il a fait l'annonce avec le secrétaire troublant. Plus tôt cette année, le Dr Gallo a reconnu son rôle comme un «agent de projet» pour le programme de développement du virus fédéral, le Virus spécial.

Le tableau de flux du programme et les 15 rapports d'étape publie les preuves indéniables que les États-Unis veulent assassiner une grande partie de la population mondiale par le déchaînement d'un organisme biologique volant qui peut exterminer les sous hommes comme les dénomment les élites nazies américaines et suisses du texas..

À la lumière de cette véritabledivulgation de la genèse du fléau biologique le plus meurtier du monde, il est le u. s. qui doit des dédommagements aux victimes innocentes.Chaque victime du SIDA associé est digne d'excuses appropriée et un moyen de fermeture économique pour une invention de la mort et ldedésespoir, perpétrés par les États-Unis.

Les yeux du monde sont sur l'équipe de soins de santé de l'ensemble Accounting Office, sous la direction de William J. Scanlon.

Entre 1964 et 1978, le programme secret de virus fédéral a dépensé 550 millions de dollars de trésorerie du contribuable pour créer le SIDA.

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vendredi 18 novembre 2016

Ce médecin pakistanais greffe des organes aux plus pauvres gratuitement

SANTÉ - Manque de moyens, corruption, désorganisation... les hôpitaux publics pakistanais souffrent de maux graves, mais, dans un centre de transplantation rutilant, un médecin de Karachi a redonné espoir à des millions de personnes: il oeuvre gratuitement.

Des patients pauvres font des kilomètres pour camper sur le béton brûlant devant l'entrée de l'établissement, dans l'espoir d'y être soignés. Son fondateur, le Dr Adibul Rizvi, cheveux blancs et démarche preste, travaille d'arrache-pied du matin au soir. Il n'a pas de bureau à lui mais arpente les couloirs pour se rendre au chevet des patients, enfants, VIP ou criminels, sans distinction.

Le chirurgien a 79 ans

A 79 ans, ce chirurgien continue de pratiquer des greffes. Son enthousiasme est intact quand il évoque l'épopée qui a débuté avec un service de huit lits, devenu en grandissant l'une des principales structures de transplantation d'Asie du Sud, où l'on greffe principalement des reins.

Un exploit à bien des niveaux: l'Institut d'Urologie et de Transplantation du Sindh (SIUT) est largement financé par des dons individuels; et en quatre décennies, il a soigné plusieurs millions de personnes.

En 2015, plus de 300 transplantations et 260.000 séances de dialyse y ont été effectuées, totalement gratuitement, y compris les traitements de suivi.

"Dans un pays en voie de développement, les gens n'ont pas les moyens de se faire soigner", regrette le Dr Rizvi, décrivant l'inimaginable pauvreté à laquelle sont confrontés les employés des dix centres de santé que son organisme gère dans le pays, soit 1200 lits au total.

Droit à la santé

gouvernement participe, fournissant environ 30% du budget de SIUT, mais cela ne suffit pas à mettre en oeuvre l'idéal du médecin selon qui "chaque être humain (...) a le droit d'avoir accès à des services de santé et de vivre avec dignité".

Pour parvenir à ses fins, le Dr Rizvi "s'est adressé à tous les citoyens, pour faire de chacun un partenaire", comme c'est le cas dans les pays dotés d'une Sécurité sociale. Les Pakistanais ont une telle confiance en l'établissement qu'ils ont été soulagés lorsque le philanthrope le plus respecté du pays, Abdul Sattar Edhi, décédé cette année à 92 ans, a commencé à y être dialysé il y a huit ans.

Mais lors de la fondation du SIUT en 1974, il n'a pas été simple de convaincre les Pakistanais de faire des dons à une telle cause. En effet, si la charité est l'un des cinq piliers de l'islam, nombreux sont ceux qui pensent que le don d'organe est contraire à la loi coranique. Or pas d'organe, pas de greffe. Pour surmonter l'obstacle, le Dr Rizvi a dû se tourner vers les dignitaires religieux.

"Heureusement", explique-t-il, "ils se sont tous accordés à dire que le don d'organe était tout à fait islamique", à condition que tous les proches l'approuvent et que des organes provenant de musulmans ne soient pas transplantés à des non-musulmans. Malgré cela, le manque de sensibilisation au Pakistan sur les dons d'organes "entrave notre développement", admet le Dr Rizvi.

Même nourriture, même lit

L'impeccable propreté et l'efficacité du SIUT étonnent les nouveaux venus, car ces caractéristiques sont rares dans les établissements de santé pakistanais. Dans une pièce bleu clair du service pédiatrique, une jeune femme distrait les petits patients pour qu'ils restent "calmes et détendus" lors de leur dialyse: Sanober Ambreen organise avec eux des activités musicales et artistiques, voire des spectacles.

Les jeunes malades sont très pénalisés, dit-elle: les soins qui durent plusieurs heures au moins deux fois par semaine entravent leur scolarité et beaucoup finissent par abandonner l'école. Hina Hameed, 17 ans, est dialysée depuis qu'elle a quatre ans et a jeté l'éponge au début du collège. "J'aimerais pouvoir reprendre mes études", dit la frêle jeune fille, qui s'est promis de le faire si elle obtenait une greffe.

Pas de retraite pour le Docteur de l'espoir

Quelques pièces plus loin, Ejaz Mushtaq est enchaîné au lit, un policier armé à son chevet, tandis que son sang est filtré par le dialyseur. Il est en détention provisoire en attendant son procès, accusé d'avoir attaqué des policiers. Ses reins ont commencé à lâcher pendant sa garde-à-vue et il vient deux fois par semaine au SIUT. "C'est un bon établissement, surtout pour les pauvres", admet-il.

Un détenu est soigné de la même façon qu'un VIP ou que tout autre patient, "même nourriture, même lit", assure le Dr Rizvi. Certains l'acceptent mal, reconnaît le chirurgien. Il est parfois menacé, mais cela se règle à l'amiable, raconte-il: "Nous nous asseyons avec eux, nous parlons, nous leur montrons: "vous voyez cet homme, nous le soignons, il est comme vous et moi. Devrais-je le laisser mourir?"

La retraite? Le Dr Rizvi hausse les épaules. "Mes confrères travaillent de la même façon. Mais la plupart font de l'hypertension, pas moi", rit-il.

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mercredi 21 septembre 2016

Au Pérou, 300 000 femmes stérilisées de force

Entre 1995 et 2000, plus de 300 000 Indiennes ont été stérilisées, souvent de force et dans des conditions précaires, au nom de la lutte contre la pauvreté. Nombreuses sont celles qui sont mortes des suites de l'opération, et toutes portent, aujourd'hui encore, de lourdes séquelles morales, physiques et sociales.

Elles viennent des forêts amazoniennes ou des hauts-plateaux des Andes. Elles n'ont accès ni au système scolaire ni aux services de santé, et comptent parmi les 13 millions de Péruviens considérés comme pauvres ou très pauvres. La plupart ne savent pas lire et ne parlent que le quechua, la langue de leurs ancêtres incas. Au début des années 1990, ces femmes avaient en moyenne 5 ou 6 enfants. Autant de bouches à nourrir, certes, mais aussi de bras pour les aider aux champs.

En 1995, à la conférence sur les femmes de l'ONU de Pékin, un seul chef d’état masculin est présent : Albeto Fujimori, alors président du Pérou. Il promet une stratégie intégrale de planning familial "pour les femmes puissent disposer en toute autonomie et liberté de leur vie." Une annonce aux accents de promesse d’ouverture dans ce pays conservateur. "Les études montraient alors que le désir des Péruviennes, toutes classes confondues, était d’avoir, en moyenne, 2,2 enfants par femme," déclare Alejandro Aguinaga, à l'époque vice-ministre de la Santé. Alors quel est le devoir de l’Etat, sinon de faire de leur désir une réalité ?" Mais lorsque la limitation des naissances devient une stratégie de lutte contre la pauvreté, le planning familial devient un devoir.

Contrôle démographique contre aide au développement 

Or à l'époque, le Pérou est en proie à une crise profonde, dont il tente de sortir en faisant appel aux organisations internationales. Dès 1990, le président Alberto Fujimori sollicite la Banque mondiale qui, pour réintégrer le pays à l’économie mondiale, lui demande de libéraliser son système. Elle propose aussi des prêts d’aide au développement soumis à conditions, dont le contrôle de la croissance démographique. Alors le Pérou s’engage à faire passer le taux de natalité de 3,4 enfants par femme en moyenne en 1995, à 2,5 en 2000. Un objectif drastique, mais approuvé par la Banque mondiale, qui consent alors à l'état péruvien un prêt de 150 millions de dollars.

"Le communisme voyage dans les ventres vides"

En 1995, la menace bolchévique s’est éloignée avec la chute de l'URSS. Encore sous le coup de la guerre froide, les Etats-Unis veulent à tout prix éviter la contagion communiste dans les pays pauvres. A commencer par le Pérou, fragilisé par plusieurs années de lutte entre l’armée et la guerilla maoiste du Sentier lumineux, qui sévissait dans les régions andines. Et pour lutter contre la paupérisation de ce pays, carrefour stratégique dans une zone instable, entouré de pays agités par la guerilla, le narcotraffic et l’émigration, les Etats-Unis estiment qu'il faut d'abord endiguer la croissance démographique. "Vous savez ce que disent les Américains ? Le communisme voyage dans les ventres vides", explique l'historien Matthew Connelly dans le documentaire Le ventre des femmes, par Mathilde Damoisel. Aussi l'Agence Américaine pour le Développement International (USAID), décide-t-elle de contribuer à hauteur de 30 millions de dollars au programme de planning familial du Pérou, et d'apporter son expertise.

"Ils nous ont convaincues" 

En septembre 1995, la stérilisation est légalisée - par ligature des trompes pour les femmes ou vasectomie pour les hommes, toutes deux irréversibles. Officiellement, tous les moyens de contraception doivent être proposés, mais la méthode chirurgicale est mise en avant. Des films de communication montrant des mères enceintes, entourées d'une flopée jeunes enfants,  appellent les femmes des zones rurales à se faire stériliser gratuitement. Jusque dans les villages les plus reculés, les centres de santé et le personnel médical se mobilisent. "Ils organisaient de grandes campagnes, tous les villages étaient réunis et ils nous demandaient combien d’entre nous allaient se faire ligaturer, se souvient une villageoise dans Le ventre des femmesOn s’encourageait mutuellement, c’est comme ça qu’ils nous ont convaincues. Ils nous disaient aussi qu’on pouvait défaire la ligature si on changeait d’avis". Un hôpital de province d'importance moyenne opère en moyenne 20 femmes par jour. Et puis le rythme s’accélère. Les spécialistes n’y suffisent plus. Des généralistes sont formés en hâte par AVSC, une ONG péruvienne financée par USAID.

Directives, objectifs et quotas

Les objectifs sont transmis du ministère de la Santé aux échelons administratifs inférieurs, jusqu’aux hôpitaux, où ils deviennent des quotas à remplir. "Les directives avec des objectifs chiffrés nous parvenaient des directions régionales, se souvient un médecin. Chaque centre s’efforçait de remplir 100% des objectifs." A la fin de l’année, un prix était remis à l’établissement ayant réalisé le plus grand nombre de stérilisation à un moindre coût, le meilleur effort de campagne et le meilleur effort de "captation" des femmes à stériliser. Le président est tenu au courant mois par mois. En 1997, un rapport fait état de 64831 stérilisations pendant les 7 premiers mois de l’année, soit 43% de l’objectif des 150 000 fixé pour l’année. Le taux de natalité diminue, et la communauté internationale de féliciter le Pérou de ses progrès sur la voie de la modernité.

Le choix des femmes n’est pas respecté

Avec l'introduction des quotas, la campagne de planning familial devient, dans l’indifférence générale, une campagne de stérilisation forcée. Une méthode déjà évoquée dans le "Plan Vert", un document secret échafaudé par des hauts gradés de l'armée et présenté au président Fujimori dès le début de son mandat : "Il convient de traiter les excédents démographiques par l’utilisation généralisée des groupes culturellement attardés et économiquement paupérisés… Il faut que la ligature des trompes devienne la norme dans tous les centres de santé."

Les méthodes utilisées pour mettre le plan en oeuvre vont de l'humiliation à la force en passant par l'exécution pure et simple, sans préavis. "Quand mon fils est né, ils m’ont dit : combien de fois vas-tu encore mettre bas ? Tu veux faire comme les lapins, comme les truies ? As-tu au moins une voiture ou un moulin ? Avec quoi vas-tu élever tes enfants ?" témoigne une villageoise. "Ils ne m'ont rien demandé... Ils m'ont emmenée comme un animal dans la salle d'opération", se souvient Yoni. "Je savais que j’étais enceinte, mais ils m’ont emmenée, il m’ont fait une piqûre et quand je me suis réveillée, mon ventre était ouvert et j’avais mal. Alors j’ai crié. Je ne savais rien, je ne sais pas lire. Je ne pouvais pas comprendre qu’ils allaient prendre le bébé", sanglote une autre.

Scandale

Fin 1997, le scandale éclate dans la presse péruvienne. "Quand nous avons commencé à réaliser, nous avons voulu faire la carte des abus, et ça tombait de partout, se souvient l'avocate Guilia Tamayo. Ce n'était que mensonge, violence, mépris de la vie et de la santé des femmes. Leurs droits ne comptaient pas, seuls comptaient les chiffres et les coûts." Et pourtant, chacun prend ses distances et tente de minimiser les faits, réduisant les abus à des cas isolés. Les féministes elles-mêmes restent discrètes craignant que le scandale n'éclabousse le droit à la contraception. AVSC suspend son programme et USAID interpelle le gouvernement péruvien. Les quotas disparaissent, et le nombre de stérilisation tombe de 120 000 en 1997 à 28000 en 1998.

Quand le programme de planning familial s’achève définitivement en 2000, avec le départ de Fujimori, plus de 300 000 Indiennes et quelque 30 000 Indiens ont été stérilisés. Julia tamaio répertorie 17 cas de décès - les seuls reconnus officiellement. Portée devant le Congrès des États-Unis, l'affaire sera récupérée par les lobbys anti-avortement, mais les agences américaines sont dédouanées de toute responsabilité directe.

En 2009, Fujimori est condamné à 25 ans de prison pour corruption, disparition et massacre d’opposants, mais ni lui, ni ses ministres n’ont jamais été jugés pour les stérilisations forcées. Les femmes, elles, en portent encore les séquelles morales, physiques et sociales. "C’est pour devenir une pute que tu as bouché ton ventre !" C’est comme si j’étais déjà morte, comme mes compagnes qui sont parties. Il n’y a plus rien à attendre de moi," sanglote une femme.

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