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vendredi 4 novembre 2016

Le rêve américain: Guantanamo

Les USA , et son respect à géométrie variable du droit international symbolisé par le trop célèbre camp de Guantanamo. Washington s'arroge ,en prime, le droit d'occuper illégalement une partie du territoire Cubain.

Barack Obama , la baudruche de la maison blanche avait promis de fermer cette prison militaire illégale lors de sa campagne présidentielle de 2008 RFI Bon , comme on dit , ça ne mangeait pas de pain , et ça permettaient aux "démocrates" d'afficher un semblant de façade idéologique différente des ripoux-blicains. Huit années plus tard , nous pouvons constater qu'il n'y avait aucune différence. Quel que soit le pantin qui occupe le siège de président de ce pays , ce sont tous des fauteurs de guerre et des criminels en puissance pour l'état profond yankee  source La longue liste des pays ayant subi ou subissant le diktat des USA est affolante et laisse songeur par rapport aux discours prônant les droits de l'homme et le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ! Quelle vaste fumisterie ! Pas certain que ça fasse  beaucoup rigoler les Irakiens , les Syriens , ou les habitants du Donbass !

Mais barack a trouver le moyen de vider ce camp de la honte. Effectivement , ce criminel sous-traite la gestion des prisonniers dans ses colonies  le monde Ce qui permet aux gogos , pardon , les propagandistes de fashington de clamer qu'il y a moins de prisonniers aujourd'hui que lors du premier mandat de Obama. Un joli tour de magie qui ne dupera que ceux qui veulent bien l'être ! Dans cette prison , la "glorieuse" armée Américaine a emprisonné pendant des années des enfants , les a torturée , et privée de soins  le monde l'obs Que dire de ces prisonniers sans droits, ni chef d'inculpation et qui passeront des années dans cet enfer carcéral le monde  Les droits de l'homme à la sauce yankee !

Regarder la vidéo: Témoignage sur la torture à Guantanamo

Quoi que l'on puisse penser , il n'est pas normal ,quand on se prétend une démocratie respectueuse des droits de l'homme , et comble du cynisme , se permettre de vouloir faire la morale au reste de la planète , d'utiliser des méthodes aussi abjectes et contre-productives.      

Il ne faut pas non plus oublier les cas de Bagram en Afghanistan , et Abou Ghraib en Irak. La torture , les mauvais traitements étaient monnaie courante dans ces deux prisons aux mains des cow-boys amères-loques venus 'libérer' ces 2 paysAmnesty internationale Le figaro RFI Courrier international

Regarder la vidéo: La torture d'Abu Ghraib

Pour ce qui est de libérer du monde , les yankees ils s'y connaissent !  Ils ont réussi en 25 ans , à libérer de tous soucis , au minimum 4 millions de personnes Blog les crises Bonne chance aux futurs malheureux pays qui seront libérer par l'US Army !

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mercredi 26 octobre 2016

Obama partira, mais Assad restera !

Le directeur de l’Agence nationale de la sécurité américaine (NSA) a déclaré que Bachar al-Assad resterait éventuellement au pouvoir jusqu’après la fin du mandat présidentiel d’Obama.

James Clapper, le directeur de la NSA, s’est dit mercredi déçu par le changement du gouvernement syrien avant l’expiration de la présidence de Barak Obama.

S’exprimait lors d’une session du Conseil des relations internationales des États-Unis, il a dit que c’était une probabilité "acceptable" qu’Obama quitte la Maison Blanche tandis que Bachar al-Assad est toujours le président syrien.

Pour ce qui est des systèmes de défense russes déployés en Syrie, cette haute autorité américaine les a qualifiés de "puissants".

Il a dit ne pas refuser la proposition des États-Unis de créer une zone d’exclusion aérienne en Syrie. « Puisqu’il est possible qu’ils abattent un avion américain », a-t-il allégué.

Tous les deux candidats aux élections présidentielles américaines ont apporté  leur soutien à la création d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de la Syrie. Et pourtant, le quotidien Washington Post a écrit cette semaine qu’en raison du déploiement de systèmes S-400 et S-300 en Syrie, les politiciens américains doutent de l’efficacité de ce plan.

M. Clapper a accusé la Russie de tenter de s’ingérer dans les élections présidentielles américaines ajoutant que par le passé, Moscou avait commis un tel acte.

En réponse à une question de savoir s’il est possible que ce pays utilise un virus similaire au ver informatique Stuxnet pour attaquer les installations nucléaires de la Corée du Nord, il a dit n’avoir pas l’intention de parler de ce sujet avant d’indiquer qu’il n’était pas exclu que ce pays accepte la demande des États-Unis de suspendre ses activités atomiques.

Stuxnet serait un virus informatique conçu conjointement par Israël et les Etats-Unis. Ce ver, connu comme le logiciel le plus malveillant (malware) de l’histoire, a vainement tenté de détruire les infrastructures nucléaires de l’Iran.

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mardi 11 octobre 2016

Les fruits pourris de la présidence d'Obama

C'est le moins qu’on puisse dire : la fin de l’ère Obama sent la poudre. Le chef d’état-major des forces armées US, Mark Milley, vient de déclarer qu’un « conflit extrêmement meurtrier » avec la Russie est « quasiment certain ». Pour ceux qui auraient des doutes sur la nature de ce conflit, le secrétaire à la Défense de l’administration Obama, Ashton Carter, s’était chargé de les dissiper. Avec ses cheveux bien peignés, la raie sur le côté, il nous a doctement rappelé que les USA se réservaient le droit d’effectuer une « première frappe nucléaire » contre tout ennemi potentiel.

Cette doctrine d’emploi de l’arme atomique n’est pas nouvelle. Admiratif du modèle israélien, le Pentagone croit depuis longtemps aux vertus combinées de l’attaque préventive et du feu nucléaire. « Le maintien d’une possibilité de tirer les premiers a été notre politique depuis longtemps et fait partie de nos plans pour l’avenir », précise Ashton Carter. Contrairement à la France, les USA ne tiennent pas l’arme nucléaire pour un argument de dernier recours. Elle n’est pas une arme de « dissuasion du faible au fort ». Elle n’a pas pour vocation d’éviter, par la crainte des représailles, une agression qui menacerait les intérêts vitaux de la nation.

Pour Washington, l’arme suprême est une arme offensive destinée à anéantir la menace, et non à la dissuader. On pourrait la résumer par la formule suivante : la meilleure défense c’est l’attaque, et tant qu’on y est, il vaut mieux atomiser l’ennemi. A Washington, cette doctrine a pignon sur rue. Elle est inscrite noir sur blanc dans les documents officiels. Mais grâce au président Obama, cette doctrine mortifère aura connu une nouvelle jeunesse sous son second mandat. En tenant ce discours de matamore, il entend donner toute sa crédibilité à une politique belliciste qui sera amplifiée par Hillary Clinton si elle accède à la Maison Blanche. Pour ceux qui croyaient à la fable d’un gentil président manipulé par les démons néo-conservateurs du Pentagone, on imagine que c’est la douche froide.

Ces déclarations martiales sont des rodomontades, dira-t-on. Escalade purement verbale, effets de manche sans conséquences ! Ce n’est pas parce qu’ils adressent des menaces qu’ils passeront à l’acte. Certes, mais il y a des données objectives. Le budget militaire US représente neuf fois celui de la Russie, il pèse à lui seul la moitié des dépenses militaires mondiales, les USA n’ont pas hésité en 1945 à utiliser l’arme nucléaire, et on ne sait jamais jusqu’où peut conduire l’ivresse de la puissance. Hillary Clinton a dit un jour que le formidable arsenal dont dispose la « nation exemplaire » ne présentait aucun intérêt si l’on répugnait à s’en servir pour de vrai. A bon entendeur ! Cette Amérique dont elle promet le retour n’hésitera pas à vitrifier ceux qui entravent sa marche grandiose vers la gouvernance planétaire.

Rodomontades ou non, ces déclarations martiales sont le symptôme d’une montée aux extrêmes. L’affrontement verbal entre Moscou et Washington a dépassé le seuil critique, et cette nouvelle guerre froide aiguise les appétits du complexe militaro-industriel. Elle lui fait miroiter les dividendes vertigineux de la course aux nouvelles technologies militaires. Une alchimie redoutable, aux USA, associe la puissance économique et l’imperium militaire, ils se confortent mutuellement, ils fonctionnent en osmose. L’affrontement qui s’annonce, par conséquent, représentera pour « l’Etat profond », ses multinationales, ses banques et ses officines sécuritaires, de gigantesques opportunités de pouvoir et de profit. Ce n’est pas de bon augure.

La dislocation de l’Union soviétique, en 1991, a créé l’illusion que la guerre froide était terminée. Lourde erreur. La renaissance du conflit entre l’Est et l’Ouest sous la présidence Obama fait la démonstration rétrospective que l’affrontement des blocs ne provenait pas de la menace soviétique. L’URSS a disparu, mais cette disparition de la cause supposée des tensions ne les a pas supprimées. Pour une raison fort simple : la véritable menace était, et elle est toujours, celle que fait peser la « nation exceptionnelle » sur la souveraineté des Etats et la coopération entre les peuples.

Cette menace, en réalité, vient de l’appétit de puissance d’une oligarchie mondialisée dont le centre de commandement est à Wall Street. C’est la cupidité pétrie de bonne conscience de ces adorateurs du Veau d’or qui menace la paix du monde, et non Vladimir Poutine ou Bachar Al-Assad. En nous léguant les fruits pourris de sa politique, Barack Obama aura au moins administré une leçon à ces naïfs qui croient qu’un président des Etats-Unis est autre chose que le commis de la finance mondialisée. La principale cause du chaos international actuel, ce n’est pas la Russie, l’Iran ou la Corée du Nord. C’est la soumission de la première puissance de la planète à une oligarchie narcissique et corrompue qui se moque comme d’une guigne de la paix du moment qu’elle engrange des profits.

Cette oligarchie, Barack Obama l’a servie. Il a reçu le Prix Nobel de la Paix, mais il a fait la guerre afin de promouvoir ses sordides intérêts. Tous les conflits en cours sont les rejetons monstrueux de la stratégie du chaos dans laquelle il est passé maître. Tuant à l’aveugle, la guerre des drones a livré l’Afghanistan aux talibans. En Syrie, l’ingérence occidentale et l’alliance de Washington avec les terroristes ont généré une guerre effroyable. Exécutée par ses larbins européens, la destruction de la Libye a semé le chaos dans la région sahélienne. Au Yémen, l’aviation saoudienne massacre des civils à coups de bombes made in USA. En Palestine, la complicité de l’administration Obama (qui vient d’offrir 38 milliards de dollars à Tel Aviv) encourage la violence coloniale déchaînée par les sionistes contre le peuple palestinien. Entre les guerres en cours et la guerre qui vient, il ne restera de cette présidence que les fruits pourris de l’impérialisme.

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mardi 13 septembre 2016

Obama, Nobel de la paix et recordman de vente d’armes à l’Arabie saoudite

Le président américain Barack Obama, prix Nobel de la paix, peut se targuer d’un triste record: les ventes d’armes américaines à l’Arabie saoudite n’avaient jamais été aussi importantes depuis 70 ans…
Le montant total des ventes d’armes à l’Arabie saoudite sous l’administration de Barack Obama est estimé à plus de 115 milliards de dollars, soit le chiffre le plus élevé enregistré aux Etats-Unis au cours des soixante-dix dernières années, indique un rapport du Centre de politique internationale (CIP).

Depuis janvier 2009, les Etats-Unis et l’Arabie saoudite ont signé 42 contrats de vente d’armes et d’équipements militaires, y compris de munitions de petit calibre, de chars, d’hélicoptères, de navires et de missiles sol-air. En outre, Washington s’est engagé à assurer une assistance technique et la formation des soldats saoudiens. D’après le rapport, la majeure partie des équipements en question n’a pas encore été livrée à l’Arabie saoudite. Toujours est-il que l’administration de Barack Obama a donné en août le feu vert à une nouvelle transaction en matière d’armements, dont le montant s’élève à 1,15 milliards de dollars.

« Le retrait de cette offre ou la suspension provisoire des ventes d’armes et des services évaluées à plusieurs dizaines de milliards de dollars pourraient être un signal clair appelant l’Arabie saoudite à arrêter ses frappes aveugles (au Yémen, ndlr) et à prendre des mesures afin d’éviter de nouvelles victimes, notamment parmi la population civile », souligne l’auteur du rapport, William Hartung.

Le rapport se base sur des données fournies par la Defense Security Cooperation Agency (DSCA) au sein du département de la Défense des Etats-Unis. La publication de ce rapport dans son intégralité est prévue le 8 septembre.

Lien vers l'article Libre Expression: http://librexpression.org/?p=14979